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Il y a 7 produits.

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  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Griffo
  • Auteurs: Olivier Séchan

Fra Diavolo (Olivier Séchan)

3,50 €
« Bonsoir, Princesse ! » Et le bandit Fra Diavolo s'incline ironiquement devant Juliette, une jeune Française de seize ans, capturée avec les autres voyageurs de la chaise de poste qui, en ce printemps de 1798, faisait route vers Naples… Mais Juliette se rebiffe comme une chatte en colère. « Princesse, moi ? Allons donc ! — Et ce coffret plein de bijoux ? ricane le bandit. — De la pacotille ! — Et ce message secret pour m'avertir qu'une princesse passerait justement par là ? — C'est une machination !… Un piège !…

Samba Bugatti T1 (Jean Dufaux, Griffo)

9,95 €
Les machines agonisent. Les machines sont malades… Rongées, contaminées par un virus transmis par l'homme, les unes après les autres, les machines aux écrans purulents, à l'acier rouillé, à l'âme court-circuitée, se meurent… Samba Bugatti. Attaché à la section prévention. Dossier protégé par le code N.Q.I. Données non communicables. Profession : traquer et éliminer les porteurs de virus, les donneurs de gangrènes… Un homme fort et dur, sans pitié, sans remords, Samba Bugatti. Un homme fait pour déjouer les pièges de ce monde de rouille et de vapeur, de violence et d'illusions.

Samba Bugatti T2 : Monkey-Rock (Jean Dufaux, Griffo)

7,95 €
Il n'y a plus rien… Enfin presque ! Les machines sont rongées par le cancer de la rouille et le monde est plongé dans une crise sans nom ! Samba Bugatti aussi, est infecté ! Lui qui a pour mission de traquer et d'éliminer les porteurs de virus, les donneurs de gangrènes porte à même la chair la bactérie de Lagopa. Comme une bombe à retardement, cette infection, fera de cet homme sans pitié, sans remords, un Monkey. Un être devenu machine, possédé par le fer et la rouille... Il a trois jours pour détruire les exemplaires du Beatifica Blues ! Trois jours pour échapper, aussi, à Ziggy Montana et Algon Cage ! Trois jours pour accepter de vivre ou devancer la mort !… Trois jours…

Samba Bugatti T3 : Le mystère Bugatti (Jean Dufaux, Griffo)

7,95 €
Le monde est rouillé, triste, terne et froid… L'humanité est grippée, fatiguée, tétanisée par la peste pourpre qui envahit ses rouages, tandis que survivent ceux qui ont les moyens d'échapper à ce phénomène de contagion… Samba Bugatti a-t-il les pouvoirs nécessaires pour enrayer cette mécanique infernale ? Lui, qui porte à même la chair le virus, pourra-t-il démonter les rouages d'une implacable machination et mettre à mal le pouvoir néfaste d'Algon Cage?… Seule l'agonie métallique de ce monde en décomposition peut le dire… Seule la trajectoire d'un homme guidé par la passion pourra résoudre cette énigme…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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