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  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Hilary Ford
  • Auteurs: Marc Flament

N° 104 - Les noces secrètes (Hilary Ford)

3,54 €
Patrick Harley est-il de noble extraction ? Quand un beau jour de l'an 1876, il annonce à sa fille Arabella, dite Bella, qu'il est le « vrai » marquis de Kheilleagh, elle n'est point étonnée : elle sait que son père a toujours eu des prétentions nobiliaires, mais… ses revendications sont-elles fondées ? Elle ne le croit pas ! Il tient ces idées de sa mère, une servante irlandaise, qui aurait été séduite par un gentilhomme puis abandonnée alors qu'elle avait des espoirs de maternité… Le gentilhomme était mort peu après. Harley pense que son père et sa mère se sont mariés en secret. Pour en avoir le coeur net, il décide de se rendre à Kheilleagh (ouest de l'Irlande) et s'installe à l'hôtel avec sa fille. Chez le pasteur du village, il rencontre un jeune baronet, sir John Dungillis ; celui-ci conseille à la jeune fille de rentrer en Angleterre sans pus attendre. Si son père s'obstine dans ses recherches, la charmante Arabella ne pourrait-elle pas en souffrir ?

Fils de la flibuste : Les diables de la Jamaïque (Marc Flament)

7,62 €
« Pare-toi, capitaine, l'Anglais va te fendre le crâne ! — Par sainte Anne ! il a le bras plus long que toi, il va te percer la pense ! » Il est vrai que cette montagne de muscle semblait plutôt coriace. Et moi, François Lenormand, j'étais plus accoutumé à monter à l'abordage qu'à me battre en duel pour une mauvaise querelle…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

Fils de la flibuste : Le trésor fabuleux des Incas (Marc Flament)

3,50 €
« Mais puisque je vous le dis ! II y a là-bas une rivière coulant sur un lit d'émeraudes ! » s'écria Gai Latripe. François Lenormand ne put s'empêcher de sourire. L'or et les trésors du Pérou enfiévraient l'imagination des flibustiers. « Suivez-moi au pays des Incas ! Je ferai votre fortune à tous ! » hurla un vieux capitaine…

Il était une fois le Far West : Cheval-Tonnerre sera ton nom (Marc Flament)

3,50 €
« Formez le cercle ! Formez le cercle, hurla le chef du convoi ! Dépêchez-vous ! Sinon vous allez vous faire massacrer jusqu'au dernier ! » Je regardai les Indiens qui venaient d'apparaître sur la crête des collines. Au-dessus de leurs têtes le ciel était vide... tous les oiseaux avaient disparu. « C'est une embuscade ! hurla un pionnier, ils sont au moins six cents pour nous tomber dessus… »…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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