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  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Berthe Bernage
  • Auteurs: Hubert Ben Kemoun
Brigitte et les coeurs heureux (Berthe Bernage) - Editions Gautier-Languereau
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Brigitte et les coeurs heureux (Berthe Bernage)

12,00 €
Brigitte vient de marier sa dernière-née, cette Marie-Agnès longtemps hésitante devant le choix d'un époux. Mais elle fut conquise par la personnalité de Sylvain Iribara, étudiant en médecine venu du pays basque et aussi original qu'elle-même. Un peu trop, au gré de l'entourage que chérit cette belle Marie-Agnès, qui s'inquiète des fantaisies des jeunes mariés. Refusant fièrement l'aide de la famille, ils ne seront pas riches au début ! Ils prennent donc un modeste logis au douzième étage de l'un de ces blocs qui s'élèvent peu à peu dans la zone parisienne, là où il y avait des champs. Décor et milieu nouveaux pour eux. Mais ils s'y trouvent heureux. « On prétend, dit gaiement la jeune femme, que les gens heureux n'ont pas d'histoire. Mais il y a bien des manières d'être heureux. Et désirons-nous tellement vivre sans histoire ? » L'histoire dont rêvent ces deux audacieux : aller en Afrique où il ferait son service militaire comme médecin, où elle aurait un poste de professeur. Aussi, verrait-on du pays, travaillerait-on au développement d'une population en évolution. En attendant de partir, ils se font aimer et rendent service dans leur quartier populaire ; et ils arrivent à trouver de la grandeur au paysage sans charme, parce que leur âme est grande et que, par-dessus les chantiers de construction, les espaces libres du ciel deviennent le champ d'évasion de leur pensée et de leur amour. Oui, il y a bien des manières d'être heureux. Mais l'histoire de leur vie ne va-t-elle pas devenir dure ? La bravoure et la joie pourront-elles tenir devant l'épreuve ?

Ma mère m'épuise (Hubert Ben Kemoun) - Le livre de poche N° 696

2,74 €
Mélusine est dans tous ses états : son petit ami, Bruno, vient de lui annoncer qu'il la quitte. Mais c'est compter sans sa mère, championne des déboires en tout genre ! Mélusine lui promet toujours de trouver une solution à ses problèmes. « Ma mère m'épuise », voilà le slogan que Mélusine pourrait écrire sur les murs de la ville, à la place des slogans racistes qui s'y trouvent. Mais quelqu'un d'autre a déjà pris la place… À partir de 12 ans

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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