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  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Denise Renaud
  • Auteurs: Moka

Au pied de l'arc-en-ciel (Moka)

2,92 €
Quand on est en vacances au milieu des moutons et des amandiers, dans une maison sans électricité, qu'il pleut qu qu'on n'a pas le droit de jouer avec sa gameboy, que peut-on faire ? On peut toujours patauger dans les flaques. On peut aller visiter une tour en ruine. On peut aussi perdre son petit frère dans les collines et passer des heures à le chercher. On peut également inventer une chasse au trésor, où les bergers sont des sorciers maléfiques, où le thym est un poison qui fait dormir mille ans si on le respire, où une armée de scorpions garde les pièces d'or et les pierres précieuses. Mais parfois, on croit seulement jouer et il se passe vraiment des choses étranges.

N° 610 - La pêche aux perles (Denise Renaud)

4,45 €
Extrait : « Ainsi, dit le capitaine Roberts en tirant une bouffée de sa courte pipe, vous allez faire un petit tour dans cette vieille Europe ? » George Nicolson, ingénieur aux chantiers navals de Sydney, sourit : « Dites plutôt une grande tournée, mon cher ami ; je suis chargé d'étudier, dans les plus grands ports européens, les derniers perfectionnements de l'outillage et de l'organisation. J'en ai certainement pour plusieurs mois, un an peut-être, ou plus. — Mais ce sera pour vous fort intéressant, Nicolson. Allez-vous emmenez Jeff avec vous ? — J'y avais songé, mais c'est impossible ; je serai très occupé, et le pauvre garçon serait à l'abandon dans des villes étrangères. Non, il me faut le laisser ici, et c'est le point noir de ce voyage…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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