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  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: J.-R. Hautefort
  • Auteurs: Ruth Langan
Tante Annah joue aux dominos (J.-R. Hautefort) - Police et Mystère N° 52 - Ferenczi
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N° 52 - Tante Annah joue aux dominos (J.-R. Hautefort)

4,74 €
Extrait : Sur le point de s'engager dans la grande allée de Silverhill, Edward bifurqua si brusquement à gauche qu'il eut beaucoup de peine à redresser sa moto. Il s'était souvenu à temps de sa précédente arrivée : lancée à quatre-vingt-dix à l'heure, sa machine avait mis un tel désordre dans le gravier de l'allée qu'il en avait pour huit jours perdu l'estime du vieil Olivier, le jardinier. Pour ne pas mécontenter le brave homme qui entretenait le parc depuis tantôt un demi-siècle, il emprunta la route pavée qui contournait la propriété et aboutissait derrière le manoir. De loin, Silverhill avait toujours grande allure. Entre des arbres séculaires, en retrait de pelouses bien soignées, c'était le type même de ces habitations seigneuriales que représentent les classiques gravures anglaises et les traditionnelles cartes de Christmas. De près, l'impression n'était plus la même. Les bâtiments qui n'étaient pas entretenus depuis des années, tombaient presque en ruine. Il semblait à Edward que les dégâts se faisaient de jour en jour plus rapides. — Tout ici aurait besoin d'être restauré, remarqua sa tante qui l'attendait sur la terrasse, et qui l'avait surpris en train d'examiner pensivement es lézardes des murs. Malheureusement mes moyens ne me permettent pas de faire entreprendre des travaux…

N° 37 - L'étranglé me fait la vie dure (J.-R. Hautefort)

4,74 €
Extrait : Pourrai-je un jour dormir tranquille, sans être tiré de mon sommeil par la sonnerie stridente du téléphone ? Quand je pense que j'évite soigneusement de donner le numéro de ma ligne privée, je me demande ce que cela serait si ce numéro figurait sur l'annuaire ! J'ai beau gueuler, rien n'y fait : « Lorsque tu es couché on est certain de te joindre. » me déclarait un de ces fâcheux…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…

N° 12 - Sur les bords du Michigan (Ruth Langan)

2,56 €
A la nuit tombante, les eaux sombres du lac Michigan se parent des mille reflets des lumières de Chicago. Au coeur de cette sévère forêt de gratte-ciel, se dresse une vieille maison au charme désuet entourée d'un jardin amoureusement entretenu par sa propriétaire, la délicieuse Chloé…
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