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  • Auteurs: Bärbel Haas
  • Auteurs: Charles Dickens
  • Auteurs: Jean Glachant

Petits fantômes et gros voleurs (Bärbel Haas)

2,95 €
Dans un château, les fantômes c'est obligatoire ! Oncle Gustave n'y croit pas ? Lili, Rudi et Béno vont le faire changer d'avis. Mais au coeur de la nuit noire, qui aura le plus peur ? De 3 à 6 ans.

Le magasin d'antiquités (Charles Dickens)

5,95 €
Un soir, un vieux Londonien s'entend prier, par une jolie petite fille, de lui indiquer le chemin d'une rue située loin, très loin… Il y conduit l'enfant et fait ainsi la connaissance du grand-père de Nelly, propriétaire d'un magasin d'antiquités. Ce vieillard, qui a aussi un petit-fils, un garnement de petit-fils, entretient d'étranges relations avec un nain odieux, qui, perfidement, le dépossède de son magasin… Alors, une nuit, Nelly et son grand-père, la main dans la main, doucement, sans bruit, s'enfuient de la maison et quittent Londres, tandis que la grande ville dort encore, sans savoir où ils vont… Partis presque sans ressources, que vont devenir le vieillard et l'enfant ?…

Les aventures de M. Pickwick (Charles Dickens) - Texte abrégé

3,56 €
Quatre messieurs très solennels qui font des glissades sur une couche de glace légèrement trop mince… Un illustre savant enfermé dans le placard d'un pensionnat de jeunes filles… Cent autres incidents aussi cocasses, racontés par le plus grand des romanciers anglais, émaillent « Les aventures de M. Pickwick »…

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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