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  • Auteurs: Béatrice Bottet
  • Auteurs: Enric Larreula
  • Auteurs: Netty Delance
A la recherche du printemps (Enric Larreula) - Le croque-livres Casterman
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A la recherche du printemps (Enric Larreula)

2,45 €
Au temps où les animaux parlaient, il y eut une année où l'hiver dura si longtemps que l'on crut bien qu'il ne finirait jamais. Plusieurs mois s'étaient déjà écoulés et pourtant un froid mordant s'entêtait, jour après jour, semaine après semaine, à tourmenter bêtes et plantes de ses neiges et gelées. Les nuits étaient longues, interminables et glacées. Chaque matin, quand la lumière ténue du jour éclairait l'horizon, une nouvelle et épaisse couche de givre recouvrait les arbres, le sol et même le corps des malheureux animaux qui ne pouvaient trouver refuge dans une quelconque tanière. Personne dans la forêt n'avait le souvenir d'un hiver aussi long et aussi rigoureux. On aurait dit que le beau temps ne parvenait pas à revenir. Et c'est en vain que les animaux guettaient l'aube dans l'espoir d'une lumière plus matinale.

Le Grimoire au Rubis , Cycle 1 Livre 2 : Le sortilège du Chat (Béatrice Bottet)

2,92 €
Dans les bas-fonds de Paris, on peut entendre une rumeur : « Il est revenu, le grimoire au rubis est revenu ! » Des esprits malfaisants aimeraient s'emparer de ce livre magique pour s'en prendre à la personne du roi ! Avec l'aide de la belle Blanche, le jeune Bertoul, qui est le gardien du grimoire, va devoir lutter pour le garder…

N° 1558 - Vengeance posthume (Netty Delance)

3,05 €
Extrait : Antonio Tempico s'approcha de la fenêtre, se pencha sur le jardin, d'où montait le rire clair de Madalena. Madalena riait, Madalena était heureuse ! Il n'en fallait pas plus pour le remplir d'une profonde joie. Depuis dix ans, depuis la mort de sa femme, il ne vivait que pour sa fille, sans autre but que la combler, la choyer, lui faire une existence douce. Il travaillait, il gagnait de l'argent, beaucoup d'argent… pour elle. Et, s'il avait de l'ambition, c'était encore et uniquement pour elle. Il s'était promis que, lorsqu'elle aurait dix-huit ans, elle serait une des jeunes filles les plus richement dotées du pays. Il avait eu le courage, alors qu'elle n'était âgée que de huit ans, de s'en séparer, de la confier à une nourrice, et de s'enfoncer dans le fin fond du Mexique pour essayer d'y faire fortune. Plusieurs années durant, il avait mené la vie rude des prospecteurs de pétrole. La chance avait fini par lui sourire. Il se hâta de vendre le terrain pétrolifère qu'il avait découvert et vint s'installer dans une des régions tempérées — terras templados — du pays, sur les contreforts de la Sierra Madre , face au golfe de la Californie…

N° 1710 - Esclave du désir (Netty Delance)

3,74 €
Extrait : D'un même mouvement, tous les pensionnaires déjà attablés inclinèrent la tête avec un rapide coup d'oeil vers la porte. L'homme à qui s'adressait ce salut collectif — en réponse au sien — se désintéressa d'ailleurs immédiatement de l'assistance et gagna à grands pas la table qui lui était réservée. La pension de famille de Mlle Vertuchon comptait deux genres de clientèle : celle qui prenait ses repas à la table d'hôte et la clientèle plus restreinte mais privilégiée qu'on servait par petites tables. A vrai dire, les menus et les rations étaient les mêmes, et la très sensible différence de prix n'était pas justifiés par le blanchissage du linge — on servait sur des nappes de papier. C'était donc, tout simplement, une sorte de taxe supplémentaire imposée aux quelques individualistes qui préféraient la solitude ou l'intimité à la conversation générale, et leurs aises au coude-à-coude… Yvonne, la grosse servante dont les vingt ans opulents se passaient — à tort ! — de soutien-gorge, appelait ironiquement ces délicats les « serviettes » par opposition aux « torchons » qui constituaient le gros des pensionnaires…

N° 1672 - L'impossible vengeance (Netty Delance)

3,74 €
Extrait : — Je t'assure, dit Simone en riant, que nous sommes venues par là !... Claudine haussa les épaules sans cacher sa mauvaise humeur : — Avec toi, on a toujours des avatars de ce genre !... Il était si simple, trop simple, sans doute, de rester avec les autres, devant la terasse... Mais non, il a fallu aller visiter le parc !... La prochaine fois, je te laisserai aller seule. Au lieu de se fâcher, Simone pouffait. Elle était aussi « parigote » et fille des faubourgs, avec son petit nez en l'air et son accent, que Claudine était racée, distinguée, d'une dignité un peu hautaine d'ailleurs. Et leurs caractères étaient tels que le laissait deviner leur aspect respectif. Belle et dominatrice, Claudine avait, dès son entrée dans la maison Jean-Jacques Flath, subjugué sa camarade de travail dont le coeur sensible ne demandait qu'à se dévouer…
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