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  • Auteurs: Béatriz
  • Auteurs: Gladys Davidson
  • Auteurs: Oliver Banks

N° 3198 - La nuit du Vaudou (Odile Granville) - Le cadre d'ébène (Oliver Banks)

4,50 €
Encarts Lecture BS 3198 à détacher Extraits  : La nuit du Vaudou d'après le roman de Odile Granville La voix de la femme de chambre se fit entendre à la cantonade : — Vous direz à Mathieu de venir prendre les bagages de la jeune Madame de Brétigny et de les mettre dans le coffre de la voiture. Ces instructions firent sourire Irène. Depuis quelques heures, c'était elle la jeune Madame de Brétigny. Depuis que, tout d'abord devant le maire, puis devant le vieux curé de campagne, elle avait accepté en ce clair matin d'hiver de prendre pour époux Michel de Brétigny. … Le cadre d'ébène d'après le roman policier de Oliver Banks Il faisait froid et gris en cet après-midi de novembre, lorsque Weinstock se trouva sur le palier de Mrs. Caroline Emerson, dans Louisburg Square. Bien que sa galerie fût située à peu de distance de là, il était rare qu'on lui demande de venir expertiser un tableau dans un de ces beaux immeubles de Beacon Hill. Il sonna, et la porte s'entrebâilla. …

N° 706 - La rose magique (Gladys Davidson)

12,00 €
Extrait : I - Deux Princes Il était une fois un vieux Roi fort riche, qui avait un très méchant fils et un neveu très bon. Le fils se nommait le prince Ragio ; et ce nom lui allait à merveille, car on ne vit jamais Prince plus désagréable, plus laid, plus stupide, et d'un caractère plus mauvais, dans tout le Monde des fées. Personne ne l'aimait, et le peuple tremblait à la pensée qu'un jour il serait le maître ; car, au lieu de s'occuper des affaires de l'état, comme un Prince sage doit le faire, il passait tout son temps à s'amuser avec des compagnons de paresse, et il faisait toujours le mal partout où il allait. Sa mauvaise conduite était un perpétuel sujet de douleur pour son père, et le pauvre vieux Roi en fut devenu fou, n'eût été la bonté de son neveu, le prince Florizel, qui l'aidait de son mieux et lui était, en vérité, une grande consolation. Ce jeune Prince était aussi beau que son cousin était laid ; il était aimable, intelligent, plein de vaillance et de noblesse. Il assistait aux conseils et prêtait au vieux Roi toute l'assistance qu'il pouvait ; plus d'une fois, grâce à ses sages avis, on put se tirer d'ennuis causés par la conduite déréglée du prince Ragio. Le peuple aimait le prince Florizel, et l'aurait bien voulu pour Roi ; mais, pendant longtemps, il garda ce voeu secret, tant il craignait que le méchant Prince ne tuât son favori…
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