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  • Auteurs: Béatriz
  • Auteurs: Gayle Wilson
  • Auteurs: Jacques Sanluys

N° 369 - Et la mort nous séparera (Gayle Wilson)

3,50 €
Sur les marches du tribunal d'où va bientôt sortir Samuel Tate, l'assassin de son fils, Sarah Patterson s'apprête à faire justice. Comment accepter en effet qu'un simple vice de forme permette au monstre qui a tué son enfant de rester impuni ? Et comment accepter surtout que d'autres enfants puissent être un jour victimes de ce serial killer ? Mais alors qu'elle croise le regard de l'homme qui vient de sortir libre du tribunal, et que, le cœur battant, elle s'apprête à appuyer sur la détente, un flic, Mac Donovan, s'interpose. Un flic qui sait comme elle que l'homme est dangereux mais qui ne peut laisser abattre celui que les juges ont relâché. Profitant de la diversion, l'assassin disparaît… Pas pour longtemps : bientôt, en effet, Sarah reçoit des messages angoissants. Des messages qui lui laissent penser, en dépit du scepticisme de la police, que l'assassin n'en a pas fini avec elle. Pourtant, le danger, de plus en plus palpable, se resserre autour de Sarah : son ex-mari, puis un enfant du voisinage, sont à leur tour assassinés. Désormais, Sarah le sait : entre elle et Samuel Tate, la lutte sera sans merci. Et seule la mort les séparera…

N° 1917 - Le dernier mot du coeur (Jacques Sanluys)

3,95 €
Extrait : A regret je franchis le portillon. C'était stupide d'avoir choisi le métro comme moyen de transport ! Il y avait une vingtaine d'arrêts, deux changements, pour aller jusqu'à « La Fourche ». Un bien long voyage ! Je m'étais privée sans raison du beau soleil d'octobre... Le bruit de la rame qui arrivait coupa court à mes réflexions. Trop tard pour changer d'avis !... Je me dirigeai vers le milieu du quai, là où allait venir se placer le wagon des « premières ». Des cris d'effroi, soudain me glacèrent… Le train stoppa net, durement. Des gens s'élancèrent vers la voiture de tête. Le conducteur sortit d'un bond de sa cabine. Il sauta sur la voie, suivi par le chef de train… Déjà, des voyageurs formaient un cercle. Je ne voulu pas me mêler à la foule. C'était un suicide, sans aucun doute. L'affreux spectacle ne m'attirait pas ! Le chef de station, qui s'était précipité pour aider ses camarades de travail à secourir la victime revenait au pas de charge vers la cabine vitrée qui lui sert de bureau…
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