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  • Auteurs: Anne Weale
  • Auteurs: Béatriz
  • Auteurs: Joachim Renez

N° 1333 - Portrait d'un gentleman (Anne Weale)

2,15 €
Quel choc ! Cet homme était la réincarnation de Piers Anstruther, ce chevalier mort au XVIIe siècle sur le champ de bataille, dont le portrait trônait dans le salon du manoir de Bosanquet. Combien de fois Flora s'était-elle absorbée dans la contemplation de ce tableau, admirant sans se lasser ces traits volontaires, ce regard d'un bleu profond, cette chevelure sombre ? Et voilà qu'aujourd'hui, le miracle se produisait. Son héros était là, en chair et en os, en la personne de Roderick Anstruther, l'actuel propriétaire de Bosanquet. Certes, lui ne la regardait même pas. Mais qu'importe ! Pour attirer l'attention de celui qu'elle attendait depuis toujours sans y croire, Flora se sentait prête à toutes les folies… À toutes, vraiment ?

N° 1029 - La torture du délaissé (Joachim Renez)

3,05 €
Extrait : Les orgues entamèrent la marche nuptiale de Lohengrin et les mariés, suivis d'un nombreux cortège, descendirent l'escalier de l'Eglise de la Madeleine, dont les marches, recouvertes d'un immense tapis rouge, furent foulées par une assemblée élégante et aristocratique. La grande porte ouverte permettait aux bavards, assemblés devant les grilles, d'apercevoir les mille lumières des cierges ponctuant d'étoiles la pénombre qui envahissait l'ancien temple de la Victoire. Il était midi et les midinettes de ce quartier, où la grande couture et les modistes en renom tiennent leurs assises, écarquillaient les yeux, admirant et même critiquant avec ce sens aigu de la parisienne, pour le chic et l'élégance, tous ces heureux qui défilaient, papotant et avec des visages de fêtes, suivant les héros de cette cérémonie nuptiale…

N° 1142 - Les amants tragiques (Joachim Renez)

3,05 €
Extrait : Dans la cellule n° 1 un homme est étendu sur sa couche que mouille une sueur d'agonie. Il ne dort pas ; il ne peut dormir. Les bruits vagues de la prison le tiennent en éveil. Ces rumeurs inaccoutumées présagent pour lui la venue de l'aube sinistre où il paiera la dette qu'un assassin doit payer à la société. La loi des hommes est dure ; cette fois elle frappe en aveugle. Tel a été le verdict des jurés. Cet homme a tué ? Il doit mourir ! Cependant, ce condamné n'était pas un homme méchant. Quels furent les mobiles de son crime ? L'amour. Eveillé, celui qui est encore Charles de Meuze ressasse les heures sinistres que depuis des mois il vit. Il écarte de son esprit toute cette agonie et se retrempe aux heures douces où il aimait et était aimé de Lionette…
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