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  • Auteurs: Béatriz
  • Auteurs: Jean Vignaud
  • Auteurs: John McGregor

N° 3007 - Et soudain, l'avalanche… (Paul Vincent) - Le commissaire-priseur (John McGregor)

4,50 €
Encarts BS Lecture 3007 à détacher Et soudain, l'avalanche… d'après le roman de Paul Vincent Sylvie a-t-elle le droit de laisser Jean-Pierre, le fils d'un promoteur parisien, transformer en station de ski La Ramaz, son village perdu au coeur des Alpes, et qui n'offre pour toute ressource qu'un petit artisanat ? Dès son arrivée de Paris, Jean-Pierre n'a d'yeux que pour Sylvie, et celle-ci ne lui est pas insensible. Mais Francis, son ami d'enfance, éprouve une haine sourde envers celui qui veut lui prendre à la fois son village et la fille qu'il aime. A mesure que Jean-Pierre convaincu de son projet les habitants du village, Francis mûrit sa vengeance. Dans le silence de la neige, amour et intérêt s'affrontent à visage nu. Témoin de cette lutte, la montagne apportera-t-elle une solution au dilemme de Sylvie ? Le commissaire-priseur d'après le roman policier de John McGregor.

N° 3005 - La sorcière aux yeux bleus (Barbara Cartland) - L'enveloppe froissée (John McGregor)

4,50 €
Encarts Lecture BS 3005 à détacher Extraits  : La sorcière aux yeux bleus  d'après le roman de Barbara Cartland Le marquis d'Aldridge bâilla. S'il était une chose qui l'ennuyait, c'était bien une maison de plaisir. Ce soir, cependant, il n'avait pu refuser d'accompagner le prince de Galles, et de faire de son mieux pour l'arracher à la mélancolie qui l'accablait depuis plusieurs semaines. « Le Cloître », lieu de plaisir à très grand succès tenu par Charlotte Hayes et situé à Pall Mall, King's Place, était une des « maisons » les plus connues de Londres. … L'enveloppe froissée , une nouvelle policière de John McGregor La jeune femme était belle, d'une beauté un peu inquiétante, sous sa frange de cheveux blonds, extraordinairement brillants. Elle fit glisser sur le tapis de Perse un grand manteau de fourrure blanche souple et luisante, et apparut, superbe, dans un fourreau, blanc lui aussi. Elle se laissa tomber sur le canapé, regarda le luxe de la pièce avec un évident déplaisir, posa sur le plateau d'un tourne-disque un disque pris au hasard…

La maison du maltais (Jean Vignaud) - Collection Gründ illustrée N° 16

4,50 €
Extrait : Chapitre VII Le matin jeta dans la rue un autre Matteo, un Matteo impatient, qui, dans sa hâte de se mettre au travail, bouscula sans le reconnaître le fumigateur dont l'encens parfumé de benjoin distribue, pour la semaine, du bonheur dans chaque maison. Franchie la Porte de la mer, il enleva ses sandales pour courir plus vite vers le quai aux phosphates. Il avait suffi d'une nuit d'amour pour opérer ce miracle. Jamais Matteo n'avait connu semblables délices ; certains mots l'exaltaient encore comme si Safia eût été présente. Lui, pauvre portefaix, avait été salué par cette beauté des îles comme un prophète « Ia Robbi, Ia Allah, ô mon maître, ô mon Dieu ! » Safia entre ses bras avait soupiré ces paroles, le corps palpitant comme celui d'un pigeon qu'on étouffe. Et c'est pour réentendre ces mots, ces soupirs, qu'il lui fallait de l'argent. Il voulait, tout comme les notables qui cachaient des fortunes derrière leurs haies de tabias, dans la banlieue sfaxienne, pouvoir parer sa maîtresse, l'étourdir de cadeaux. Fini, désormais, le temps où Matteo musait d'une barque à l'autre, criblant de ses quolibets Maltais et Siciliens ; finies, les flâneries chez Gordina, les siestes sur le sable chaud du chenal. Tout cela était le passé, un cadavre que Safia avait piétiné de ses petits talons marqués de henné…
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