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  • Auteurs: B.J. James
  • Auteurs: C. Fongrave
  • Auteurs: Jean Dangery

N° 467 - Ce que réserve demain… (Bj James)

2,56 €
Elle avait pourtant cru oublier. Une seule nuit d'amour, cela suffisait-il donc à engager toute une vie ? Dans les bras de Zach, des années après leur fugitive rencontre, Christen, éperdue, retrouvait les mêmes émotions splendides, le même désir intense, violent, qu'elle avait connus avec lui autrefois. Elle avait pensé ne jamais le revoir et voilà qu'il resurgissait, l'entraînant de nouveau dans de folles étreintes. Ainsi, une seconde fois, le destin plaçait Zach sur sa route et la surprise était éblouissante. La chance semblait leur être donnée de laisser s'épanouir aujourd'hui ce qui avait à peine germé jadis. Mais une question entamait le bonheur retrouvé : sauraient-ils – voudraient-ils – saisir cette chance, qu'allaient-ils faire ensemble de ces lendemains ?

N° 1088 - La nuit de tous les dangers (B.J. James)

2,56 €
Valentina ne voulait pas qu'il sache, qu'il connaisse ses faiblesses. Elle était un agent de choc, bon sang ! De ceux qui foncent tête baissée dans les missions dont personne ne veut parce qu'elles sont « impossibles ». Comme celle dans laquelle elle était lancée, aujourd'hui, une lourde histoire de petite fille détenue en otage et qu'il fallait arracher à ses ravisseurs. Elle aurait été tout à fait à son affaire si... si ce maudit Rafe Courtenay, un parent de la petite, ne s'était accroché à ses pas pour « l'aider », prétendait-il ! L'aider...  Il ne l'aidait pas du tout, au contraire, il lui compliquait la tâche, par ses regards appuyés et pénétrants qui semblaient lire en elle ; par sa présence perspicace et séduisante qui paraissait sans cesse lui dire silencieusement : « Tu es courageuse et forte, mais moi, je t'entends, dans ton sommeil, crier, faire des cauchemars. Qu'est-ce que tu ne m'as pas dit ? Qu'est-ce qui te tourmente et t'empêche d'aimer ? de m'aimer ? »…

N° 1089 - La douloureuse erreur (Jean Dangery)

3,05 €
Extrait : Colette de Rions pénétra dans le vestiaire où le valet de chambre s'empressa pour lui tendre sa cape. Un instant, devant un long miroir qui descendait presque jusqu'au parquet, elle s'immobilisa pour jeter un coup d'œil à sa coiffure et se remettre de la poudre. La glace lui renvoyait sa silhouette grande et mince, aux proportions harmonieuses, vêtue d'un fourreau de soie gris clair délicieusement discret, qui moulait ses hanches rondes, son torse sculptural, et laissait libres les bras roses et la gorge frémissante. A sa ceinture pendait une énorme rose jaune pâle, si lourde, si charnue et veloutée qu'on eut dit une parfaite imitation de la nature. Le gris délicat de cette toilette s'harmonisait d'exquise façon avec la blondeur de Colette, — une blondeur à la fois chaude et douce, ni le blond cendré trop éteint, ni l'ardent blond vénitien qui semble flamber au soleil…

N° 1031 - Ce que femme veut ! (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Elle lui tenait les deux mains et le considérait avec tendresse : — Voyons, Pierre, du courage ! Père changera peut-être d'idée. Actuellement il semble buté et il serait dangereux de le harceler. Le jeune homme sourit avec amertume : — Si tu m'aimais autant que je t'aime, tu ne me conseillerais pas aussi aisément la patience. Des larmes brillèrent au bord de ses longs cils dorés et elle serra plus fort les mains de l'aimée : — Ne dis pas cela, tu me déchires le coeur. Je ne te conseille pas la patience, mais la sagesse. Père tient absolument à ce que son gendre soit riche ; il ne veut pas, prétend-il, que je connaisse la médiocrité dans laquelle il a vécu toute sa vie. Tu sais que cette pauvreté auprès de toi ne m'effrayerait pas, mais il affirme que j'ignore tout de l'existence. Nous en sommes là. Evidemment, c'est triste, mais comment passer outre sans causer un mortel chagrin à mon pauvre papa…

N° 922 - L'épreuve sentimentale (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Les deux jeunes gens se serrèrent la main cordialement et Jean s'éloigna à grands pas, se dirigeant vers le château. A une courte distance, il ralentit et balbutia, se parlant à lui-même : — Pauvre Roger !… Je comprends sa pensée, quoiqu'il la taise avec soin… Mais je n'y puis rien… Pierrette m'aime… et moi je l'adore, le hasard a tout fait. Il leva la tête et aperçut le château, tout près, qui formait une tache grise au milieu de la verdure. Son regard se tourna machinalement vers une des fenêtres du rez-de-chaussée et un sourire détendit ses traits. Aussitôt, il marcha plus vite et escalada le perron. Comme il franchissait le seuil, une voix rieuse s'écria : — Comme ru es resté longtemps, vagabond !…
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