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Renée Mauperin (Edmond & Jules de Goncourt) - Modern-Bibliothèque - Arthème Fayard Editeur
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Renée Mauperin (Edmond & Jules de Goncourt)

12,00 €
Renée Mauperin (Edmond & Jules de Goncourt) Extrait Chapitre I : —Vous n'aimez pas le monde, mademoiselle ? — Vous ne le direz pas ? J'y avale ma langue… Voilà l'effet que me fait le monde, à moi. Peut-être ça tient à ce que je n'ai pas eu de chance. Je suis tombée sur des jeunes gens sérieux, des amis à mon frère, des jeunes gens à citations , comme je les appelle. Les jeunes personnes, on ne peut leur parler que du dernier sermon qu'elles ont entendu, du dernier morceau de piano qu'elles ont étudié, ou de la dernière robe qu'elles ont mise : c'est borné, l'entretien avec mes contemporaines. — Vous restez, je crois, toute l'année à la campagne, mademoiselle ? — Oui… Oh ! nous sommes si près de Paris… Est-ce joli ce qu'on a joué à l'Opéra Comique ces jours-ci ? Avez-vous vu ? — Oui, mademoiselle, charmant… une musique d'une maestria … Il y avait tout Paris à la première représentation. Je vous dirai que je ne vais qu'aux premières. — Figurez-vous que c'est le seul spectacle où on me mène, l'Opéra-Comique… avec les Français… et encore aux Français, quand on y joue des chefs-d'oeuvre… C'est moi qui trouve ça tannant, les chefs-d'oeuvre ! Penser qu'on me défend le Palais-Royal !…

N° 467 - Ce que réserve demain… (Bj James)

2,56 €
Elle avait pourtant cru oublier. Une seule nuit d'amour, cela suffisait-il donc à engager toute une vie ? Dans les bras de Zach, des années après leur fugitive rencontre, Christen, éperdue, retrouvait les mêmes émotions splendides, le même désir intense, violent, qu'elle avait connus avec lui autrefois. Elle avait pensé ne jamais le revoir et voilà qu'il resurgissait, l'entraînant de nouveau dans de folles étreintes. Ainsi, une seconde fois, le destin plaçait Zach sur sa route et la surprise était éblouissante. La chance semblait leur être donnée de laisser s'épanouir aujourd'hui ce qui avait à peine germé jadis. Mais une question entamait le bonheur retrouvé : sauraient-ils – voudraient-ils – saisir cette chance, qu'allaient-ils faire ensemble de ces lendemains ?

N° 1088 - La nuit de tous les dangers (B.J. James)

2,56 €
Valentina ne voulait pas qu'il sache, qu'il connaisse ses faiblesses. Elle était un agent de choc, bon sang ! De ceux qui foncent tête baissée dans les missions dont personne ne veut parce qu'elles sont « impossibles ». Comme celle dans laquelle elle était lancée, aujourd'hui, une lourde histoire de petite fille détenue en otage et qu'il fallait arracher à ses ravisseurs. Elle aurait été tout à fait à son affaire si... si ce maudit Rafe Courtenay, un parent de la petite, ne s'était accroché à ses pas pour « l'aider », prétendait-il ! L'aider...  Il ne l'aidait pas du tout, au contraire, il lui compliquait la tâche, par ses regards appuyés et pénétrants qui semblaient lire en elle ; par sa présence perspicace et séduisante qui paraissait sans cesse lui dire silencieusement : « Tu es courageuse et forte, mais moi, je t'entends, dans ton sommeil, crier, faire des cauchemars. Qu'est-ce que tu ne m'as pas dit ? Qu'est-ce qui te tourmente et t'empêche d'aimer ? de m'aimer ? »…

N° 1152 - Quand fleurit l'amour (Paul Salmon)

3,05 €
Extrait : — Voilà qu'il pleut !… Ah ! il ne manquait plus que cela. Moi qui n'ai pas de parapluie !… Et Denise Laurel levait vers le ciel gris de novembre un regard désolé. En effet, l'averse se déclenchait, tombant en gouttes fines et serrées. Résignée, la jeune fille courba le dos, se pelotonnant en son mince manteau beige dont elle ramena frileusement les revers sur sa poitrine. Puis hâtant le pas, rasant les boutiques, elle poursuivit sa marche. C'était une jolie brune de dix-huit ans, aux grands yeux bleu sombre. Le visage, d'un ovale parfait, avait des traits fins et réguliers, une de ces têtes dont les maîtres de la Renaissance gratifiaient leurs madones. Le teint pâle le paraissait encore davantage par contraste avec les sourcils, les cils presque noirs. Le nez, petit et droit, d'un dessin correct, dominait une bouche aux lèvres rouges s'entr'ouvrant sur des dents petites, blanches, parfaitement rangées. De taille moyenne, Denise Laurel semblait grande tant elle était svelte ; admirablement proportionnée, elle avait une grâce qu'elle ne soupçonnait point elle-même et qui, cependant, était très réelle…
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