Accueil

Accueil

Il y a 8 produits.

Affichage 1-8 de 8 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Barbara McCauley
  • Auteurs: Max Dervioux
La dynastie des Danforth T1 : La liaison Secrète - Barbara McCauley - Saga Harlequin
  • Nouveau

La dynastie des Danforth T1 : La liaison secrète (Barbara McCauley)

2,56 €
Ils ont tout : le pouvoir, l'ambition  la fortune. Un scandale met leur réputation en danger. Seule la passion pourra les sauver. Lorsque Reid Danforth et Tina Alexander entament une liaison passionnée, ils sont conscients de jouer avec le feu. Car si leurs parents respectifs apprenaient leur degré d’intimité, nul doute qu’ils feraient tout pour y mettre un terme. Ce n’est en effet pas du bonheur de leurs enfants dont les deux familles se préoccupent, mais du tort que cette relation pourrait causer à leur réputation. Du côté de Tina, son pérenne peut imaginer que sa fille cadette puisse entretenir une relation avant le mariage. Chez les Danforth, une riche famille d'armateurs de Savannah, il est hors de question que les membres d'un clan puissent prêter matière à scandale. Car le père, Abraham, vient d'annoncer sa candidature au Sénat et fonde toute sa campagne sur son intégrité et ses valeurs morales…

N° 449 - Les amants du Colorado (Barbara McCauley)

2,15 €
La lune projetait des reflets argentés sur l'eau limpide du lac. Les bois étaient sombres et silencieux. Cassie s'enivra des senteurs de la terre humide. Ici, il y avait tant à aimer : les montagnes, les pins, les prairies à perte de vue, la pureté de l'air. Et Slade. — Vous n'avez pas froid ? demanda soudain une voix grave et familière derrière elle. Cassie crut défaillir. Slade était là, à deux pas d'elle, brûlant de désir, hésitant cependant. Mais la jeune femme ne voulait plus retarder ce moment qu'il lui avait semblé attendre toute sa vie. Elle attira Slade à elle et, enfin vaincu, celui-ci enfouit ses mains dans la soie des cheveux de Cassie, se pressa contre son corps impatient et l'embrassa avec fougue. Là, voluptueusement, il se laissa glisser avec elle sur l'herbe odorante.

N° 1159 - Les risques du jeu (Barbara McCauley)

2,15 €
Tandis que la partie de poker tournait à son avantage, Sydney Taylor observa la réaction de son adversaire : son air serein n'était-il qu'un coup de bluff, ou Reese Sinclair avait-il plus de jeu qu'il ne le laissait croire et s'apprêtait-il à l'écraser ? Difficile de savoir. Pourtant, Sydney aurait donné cher pour voir les cartes de Reese, et s'assurer ainsi qu'elle s'acheminait bien vers la victoire. L'enjeu était énorme : si elle perdait, Reese exigerait d'elle qu'elle fasse ses quatre volontés - ce qui lui promettait l'enfer ; en revanche, si elle gagnait, c'est lui qui serait à sa disposition pour quinze jours. Et « disposer », pendant deux semaines, d'un homme aussi séduisant que Reese Sinclair, c'était une occasion qu'elle ne voulait pas laisser passer !

Une troublante tentation (Barbara McCauley)

2,95 €
Lorsqu'elle pénètre dans l'église, vêtue de sa somptueuse robe blanche, Claire s'efforce de dissimuler ses larmes derrière son voile de dentelle. Car depuis que le détective Jacob Carver lui a révélé qu'elle est une enfant adoptée, toutes ses certitudes ont volé en éclats. Trahie par ceux qu'elle croyait être ses parents et qui lui ont menti sur ses vraies origines, Claire comprend soudain que sa vie n'a été qu'un mensonge. Et cet homme qui s'apprête à la rejoindre au pied de l'autel, l'aime-t-elle assez pour l'épouser ? Certes, elle a pour lui de l'estime et de la tendresse, mais il n'éveille rien en elle, rien de comparable en tout cas au trouble incroyable qu'elle a ressenti sous le regard intense de Jacob Carver, quelques jours plus tôt... Aussi, quand elle l'aperçoit dans l'église, parmi les invités, lui dont le souvenir n'a cessé de la hanter, se sent-elle soudain capable de toutes les audaces. Prête à accepter le rendez-vous que le destin vient de lui donner...

N° 1663 - Le maître des coeurs (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : Renaud Sorel regarda la maison de granit située à l'entrée de cette petite ville du Morbihan où il était venu chercher oubli et solitude. — On dit qu'elle est hantée, remarqua-t-il en souriant. La vieille dame chargée de la location hocha la tête gravement : — Cela dépend des gens qui l'habitent. Ceux qui ont peur, dame… C'est pour ça que le prix en est si bas, m'sieu le Parisien. —Oh ! je ne redoute pas les fantômes, cela m'amuserait même de me rencontrer avec l'un d'eux, fit-il avec quelque ironie. — Monsieur est peut-être venu ici pour faire des expériences ? — Qui sait… Il s'adonnait, en amateur, aux sciences diverses, lorsque l'art, dans lequel il s'était illustré, lui laissait des loisirs. Paysagiste déjà célèbre par ses toiles hardies, Sorel avait révolutionné les lois de la peinture, en la ramenant vers plus de logique tout en laissant aux jeux de la lumière une prépondérance pleine d'intensité…

N° 1630 - L'aveu d'une honte (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : — On peut vous embaucher pour aider à la décoration de la salle, il y aura un grand gala, demain soir au casino et il nous faut des girandoles d'ampoules électriques… Puisque vous vous y connaissez… Pierre Guerlin murmura : — J'accepte… Il avait faim… Après avoir tenté vainement de trouver divers emplois, à Paris, il avait pris le train pour Deauville en plein mois d'août, espérant bien dénicher du travail enfin. Les excellentes études qu'il avait faites ne lui avaient servi à rien mais il possédait à son actif quelque adresse manuelle. C'était son plus sûr bagage. Tous les siens étaient morts, il n'avait pas de bien, que ses deux mains et son cerveau, inutilement meublé des connaissances courantes réclamées dans les examens. C'était un grand garçon au maigre visage, aux yeux d'acier bleu, racé en dépit de ses brusques façons, dues à l'amertume que lui inspiraient ses nombreuses déconvenues dans ses recherches pour une situation. A Deauville il allait pouvoir vivre pendant quelques semaines, puis il repartirait chercher de l'ouvrage ailleurs…

N° 1147 - L'amour aux enchères (Marx Dervioux)

3,05 €
Extrait : Lia Bermin relut plusieurs fois d'un air atterré, la lettre qu'elle tenait entre ses mains... Francis, son petit Francis, c'était impossible... Il n'avait pas fait ça. Elle sentait le sol se dérober sous elle, dans la modeste chambre de cette pension de famille située sur les hauteurs de Dinard. Cette catastrophe était pire que tout, et pourtant, le destin ne l'avait guère ménagée jusqu'alors… Orpheline de père et de mère à dix-huit ans et complètement ruinée, mal préparée pour la lutte, elle avait dû prendre le premier emploi venu, celui de manucure dans un institut de beauté parisien, qui l'avait envoyée sur cette plage pour la saison d'été dans une succursale proche des grands hôtels. Son frère Francis, un peu plus jeune qu'elle, en sortant de l'Ecole du Commerce, avait trouvé un poste de comptable dans une fabrique de Limoges. Brun, autant qu'elle était blonde, séduisant, fougueux, révolté souvent contre le sort rude il avait connu, dans la ville qu'il habitait, une jeune femme mariée dont il avait fait sa maîtresse, et, pour satisfaire les caprices de celle-ci, ne s'était-il pas peu à peu endetté, puis affolé il avait volé une somme de cent mille francs dans la caisse qui lui était confiée : Voilà ce qu'il avouait à sa soeur…

N° 1566 - Tu seras comtesse (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : Mireille regarda avec admiration autour d'elle. Le vieux château, situé en plein Rouergue, d'une si fière allure, entouré de bois, faisait une fameuse opposition avec l'humble logis qu'elle avait habité jusqu'alors, en compagnie de son père, ancien domestique retraité des comtes de Girac. Elle avait passé son enfance en Dordogne, chez sa grand-mère, qui l'avait élevée quand elle était orpheline et pendant que Gustave Méchain était encore en service au manoir de ses maîtres. Mireille avait vécu comme une paysanne, puis elle était entré dans une modeste pension, où elle avait acquis une solide instruction. L'aïeul était morte au moment où la jeune fille atteignait ses dix-huit ans, et son père, qui avait vu ses forces décliner après plusieurs bronchites successives, était revenu vivre auprès d'elle, au pays. A soixante ans, après avoir servi fidèlement le vieux comte de Girac, il avait reçu de lui une pension de trente mille francs. Celle-ci eût été insuffisante s'il n'y avait ajouté le revenu de son petit bien…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire