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  • Auteurs: Barbara McMahon
  • Auteurs: Georges-Jean Arnaud
  • Auteurs: Max Dervioux

N° 1047 - Les armes du coeur (Barbara McMahon)

2,15 €
En général, quand Jackie avait envie d'un garçon, elle le conquérait avec ses jeunes vingt-quatre ans, sa fraîche beauté et son sourire coquin ; elle n'avait pas besoin de faire la démonstration de ses autres qualités… Mais cette fois, avec Ben Davis, ça ne marchait pas. Le charme de la jeunesse devenait même un handicap que Jackie se demandait comment surmonter. Car Ben, de 12 ans son aîné, considérait leur différence d'âge comme infranchissable. Il n'ignorait pas Jackie, ne la repoussait pas, mais il lui martelait qu'il n'était pas pour elle. Et d'autant moins qu'il se remettait mal du deuil de sa femme. Pourtant, Jackie sentait bien qu'il fondait, par moments, qu'il posait sur elle des regards où renaissaient la vie, le désir, le gout du plaisir ! Elle pouvait lui faire du bien, elle en était sûre ! Seulement, pour le séduire, elle n'allait pas pouvoir se contenter de son joli minois et de son corps de sirène : ses qualités de coeur feraient la différence. Un défi à relever ! Mais n'était-elle pas suffisamment amoureuse pour relever ce défi-là ?

N° 2963 - Le refuge de la tendresse (Maurice Métral) - Les jeudis de Julie (Georges-Jean Arnaud)

4,50 €
Encarts BS Lecture 2963 à détacher Le refuge de la tendresse  d'après le roman de Maurice Métral Deux guides valaisans, Jean-Philippe et Helga, alternent la solitude amère et les retrouvailles heureuses. Une vie sans histoire jusqu'au moment où Jean-Philippe est victime d'un grave accident de montagne. Pendant qu'on le transporte par hélicoptère dans un hôpital, Helga donne la vie à son premier enfant. Eprouvée par la douleur physique, la jeune maman l'est davantage par la souffrance morale : Jean-Philippe pourra-t-il exercer de nouveau son métier, vaincra la montagne ? Entre-temps, comme il faut bien vivre. Helga prend la place de son mari… Jean-Philippe, comme un enfant, doit tout recommencer, refaire un pas, un autre pas, deux pas. L'amour d'une femme, la tendresse et le dévouement de sa mère, suffiront-ils pour « ressusciter un homme » ? Les jeudis de Julie  d'après le roman de Georges-Jean Arnaud Extrait : Marie Lacaze travaillait à Sigean depuis la mort de son mari et ne pouvait s'occuper de sa petite fille Julie comme elle l'aurait souhaité. L'enfant devait rentrer seule dans leur vieille maison isolée au bord de l'étang, préparer son goûter, faire ses devoirs avec l'entière confiance de sa mère. La première fois où Marie prit conscience que sa fille avait un camarade fut un jeudi soir…

N° 1663 - Le maître des coeurs (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : Renaud Sorel regarda la maison de granit située à l'entrée de cette petite ville du Morbihan où il était venu chercher oubli et solitude. — On dit qu'elle est hantée, remarqua-t-il en souriant. La vieille dame chargée de la location hocha la tête gravement : — Cela dépend des gens qui l'habitent. Ceux qui ont peur, dame… C'est pour ça que le prix en est si bas, m'sieu le Parisien. —Oh ! je ne redoute pas les fantômes, cela m'amuserait même de me rencontrer avec l'un d'eux, fit-il avec quelque ironie. — Monsieur est peut-être venu ici pour faire des expériences ? — Qui sait… Il s'adonnait, en amateur, aux sciences diverses, lorsque l'art, dans lequel il s'était illustré, lui laissait des loisirs. Paysagiste déjà célèbre par ses toiles hardies, Sorel avait révolutionné les lois de la peinture, en la ramenant vers plus de logique tout en laissant aux jeux de la lumière une prépondérance pleine d'intensité…

N° 1630 - L'aveu d'une honte (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : — On peut vous embaucher pour aider à la décoration de la salle, il y aura un grand gala, demain soir au casino et il nous faut des girandoles d'ampoules électriques… Puisque vous vous y connaissez… Pierre Guerlin murmura : — J'accepte… Il avait faim… Après avoir tenté vainement de trouver divers emplois, à Paris, il avait pris le train pour Deauville en plein mois d'août, espérant bien dénicher du travail enfin. Les excellentes études qu'il avait faites ne lui avaient servi à rien mais il possédait à son actif quelque adresse manuelle. C'était son plus sûr bagage. Tous les siens étaient morts, il n'avait pas de bien, que ses deux mains et son cerveau, inutilement meublé des connaissances courantes réclamées dans les examens. C'était un grand garçon au maigre visage, aux yeux d'acier bleu, racé en dépit de ses brusques façons, dues à l'amertume que lui inspiraient ses nombreuses déconvenues dans ses recherches pour une situation. A Deauville il allait pouvoir vivre pendant quelques semaines, puis il repartirait chercher de l'ouvrage ailleurs…

N° 1147 - L'amour aux enchères (Marx Dervioux)

3,05 €
Extrait : Lia Bermin relut plusieurs fois d'un air atterré, la lettre qu'elle tenait entre ses mains... Francis, son petit Francis, c'était impossible... Il n'avait pas fait ça. Elle sentait le sol se dérober sous elle, dans la modeste chambre de cette pension de famille située sur les hauteurs de Dinard. Cette catastrophe était pire que tout, et pourtant, le destin ne l'avait guère ménagée jusqu'alors… Orpheline de père et de mère à dix-huit ans et complètement ruinée, mal préparée pour la lutte, elle avait dû prendre le premier emploi venu, celui de manucure dans un institut de beauté parisien, qui l'avait envoyée sur cette plage pour la saison d'été dans une succursale proche des grands hôtels. Son frère Francis, un peu plus jeune qu'elle, en sortant de l'Ecole du Commerce, avait trouvé un poste de comptable dans une fabrique de Limoges. Brun, autant qu'elle était blonde, séduisant, fougueux, révolté souvent contre le sort rude il avait connu, dans la ville qu'il habitait, une jeune femme mariée dont il avait fait sa maîtresse, et, pour satisfaire les caprices de celle-ci, ne s'était-il pas peu à peu endetté, puis affolé il avait volé une somme de cent mille francs dans la caisse qui lui était confiée : Voilà ce qu'il avouait à sa soeur…

N° 1566 - Tu seras comtesse (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : Mireille regarda avec admiration autour d'elle. Le vieux château, situé en plein Rouergue, d'une si fière allure, entouré de bois, faisait une fameuse opposition avec l'humble logis qu'elle avait habité jusqu'alors, en compagnie de son père, ancien domestique retraité des comtes de Girac. Elle avait passé son enfance en Dordogne, chez sa grand-mère, qui l'avait élevée quand elle était orpheline et pendant que Gustave Méchain était encore en service au manoir de ses maîtres. Mireille avait vécu comme une paysanne, puis elle était entré dans une modeste pension, où elle avait acquis une solide instruction. L'aïeul était morte au moment où la jeune fille atteignait ses dix-huit ans, et son père, qui avait vu ses forces décliner après plusieurs bronchites successives, était revenu vivre auprès d'elle, au pays. A soixante ans, après avoir servi fidèlement le vieux comte de Girac, il avait reçu de lui une pension de trente mille francs. Celle-ci eût été insuffisante s'il n'y avait ajouté le revenu de son petit bien…
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