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  • Auteurs: Anne Weale
  • Auteurs: Barbara Sydney

Domino N° 4 - Le matador bien aimé (Barbara Sydney)

5,95 €
Extrait : Les chapeaux et les mantilles volèrent dans l'arène, les applaudissements et les ovations jaillirent des gradins comme des bouquets multicolores de feux d'artifice. Un vrai délire s'était emparé des spectateurs et des spectatrices dont on sentait les nerfs mis à vif dans une surexcitation du regard et de l'âme qui les livrait à des transports fous. José Cazilla, le toréador à qui s'adressaient ces ovations enthousiastes, s'avança de sa démarche souple et balancée comparable à celle d'un danseur chorégraphe, vers la loge du Président à qui il allait remettre, selon la tradition, l'oreille du taureau qu'il venait de tuer en faisant preuve d'une audace et d'une témérité jusque-là encore inégalées. C'était là la suprême récompense que l'on pouvait donner à un matador et les vieux amateurs de corridas  affirmaient qu'ils n'avaient jamais vu une aussi remarquable démonstration…

N° 1333 - Portrait d'un gentleman (Anne Weale)

2,15 €
Quel choc ! Cet homme était la réincarnation de Piers Anstruther, ce chevalier mort au XVIIe siècle sur le champ de bataille, dont le portrait trônait dans le salon du manoir de Bosanquet. Combien de fois Flora s'était-elle absorbée dans la contemplation de ce tableau, admirant sans se lasser ces traits volontaires, ce regard d'un bleu profond, cette chevelure sombre ? Et voilà qu'aujourd'hui, le miracle se produisait. Son héros était là, en chair et en os, en la personne de Roderick Anstruther, l'actuel propriétaire de Bosanquet. Certes, lui ne la regardait même pas. Mais qu'importe ! Pour attirer l'attention de celui qu'elle attendait depuis toujours sans y croire, Flora se sentait prête à toutes les folies… À toutes, vraiment ?

Domino N° 4 - Le matador bien aimé (Barbara Sydney)

2,90 €
Extrait : Les chapeaux et les mantilles volèrent dans l'arène, les applaudissements et les ovations jaillirent des gradins comme des bouquets multicolores de feux d'artifice. Un vrai délire s'était emparé des spectateurs et des spectatrices dont on sentait les nerfs mis à vif dans une surexcitation du regard et de l'âme qui les livrait à des transports fous. José Cazilla, le toréador à qui s'adressaient ces ovations enthousiastes, s'avança de sa démarche souple et balancée comparable à celle d'un danseur chorégraphe, vers la loge du Président à qui il allait remettre, selon la tradition, l'oreille du taureau qu'il venait de tuer en faisant preuve d'une audace et d'une témérité jusque-là encore inégalées. C'était là la suprême récompense que l'on pouvait donner à un matador et les vieux amateurs de corridas  affirmaient qu'ils n'avaient jamais vu une aussi remarquable démonstration…
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