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  • Auteurs: Arlene Hale
  • Auteurs: Barbara Sydney

Domino N° 4 - Le matador bien aimé (Barbara Sydney)

5,95 €
Extrait : Les chapeaux et les mantilles volèrent dans l'arène, les applaudissements et les ovations jaillirent des gradins comme des bouquets multicolores de feux d'artifice. Un vrai délire s'était emparé des spectateurs et des spectatrices dont on sentait les nerfs mis à vif dans une surexcitation du regard et de l'âme qui les livrait à des transports fous. José Cazilla, le toréador à qui s'adressaient ces ovations enthousiastes, s'avança de sa démarche souple et balancée comparable à celle d'un danseur chorégraphe, vers la loge du Président à qui il allait remettre, selon la tradition, l'oreille du taureau qu'il venait de tuer en faisant preuve d'une audace et d'une témérité jusque-là encore inégalées. C'était là la suprême récompense que l'on pouvait donner à un matador et les vieux amateurs de corridas  affirmaient qu'ils n'avaient jamais vu une aussi remarquable démonstration…

N° 2844 - L'étranger sur la plage d'après le roman d'Arlène Hale

3,75 €
Extrait : En descendant de l'avion, Carole Goodwin respira l'air salé de la mer toute proche et cligna des yeux, éblouie par l'immensité du ciel bleu. Le contraste était violent entre cet après-midi ensoleillé de Floride et le décor si terne de Riverdale, une petite ville perdue au milieu des plaines de l'Est, dont elle était partie quelques heures auparavant. …

Domino N° 4 - Le matador bien aimé (Barbara Sydney)

2,90 €
Extrait : Les chapeaux et les mantilles volèrent dans l'arène, les applaudissements et les ovations jaillirent des gradins comme des bouquets multicolores de feux d'artifice. Un vrai délire s'était emparé des spectateurs et des spectatrices dont on sentait les nerfs mis à vif dans une surexcitation du regard et de l'âme qui les livrait à des transports fous. José Cazilla, le toréador à qui s'adressaient ces ovations enthousiastes, s'avança de sa démarche souple et balancée comparable à celle d'un danseur chorégraphe, vers la loge du Président à qui il allait remettre, selon la tradition, l'oreille du taureau qu'il venait de tuer en faisant preuve d'une audace et d'une témérité jusque-là encore inégalées. C'était là la suprême récompense que l'on pouvait donner à un matador et les vieux amateurs de corridas  affirmaient qu'ils n'avaient jamais vu une aussi remarquable démonstration…
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