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  • Auteurs: Barbara Taylor Bradford
  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Yvonne Coppard

Angel, mon amour (Barbara Taylor Bradford)

2,15 €
Tous quatre orphelins, Nell, Kevin, Gavin et Rosalind, dite « Angel », se sont connus adolescents, à la fin des années 1970. Paumés et en mal d'affection, ils ont formé une famille, leur famille, que rien ne désunira plus.Nous les retrouvons adultes : Rosalind est la styliste la plus recherchée d'Hollywood. Gavin est acteur de cinéma. Nell dirige une agence internationale d'attachés de presse. Kevin, loin des paillettes du show-biz, combat la mafia à New York, où il est policier. Tous ont connu des amours, des échecs. Tous vivent leur passion, leurs espoirs, leur recherche du bonheur sans jamais s'oublier les uns les autres. De Londres à Paris, d'Hollywood aux rives de la Loire, la romancière de L'Espace d'une vie et d' Accroche-toi à ton rêve nous entraîne ici sur les traces de personnages singulièrement humains et attachants.

Un peu de tenue, Jenny ! (Yvonne Coppard) - Pocket Junior N° 1162

2,56 €
« Ma vie est nulle ! » Voilà le constat de Jenny à la veille de ses 15 ans. C'est vrai, quoi ! Ses parents sont des ringards pour qui une soirée-délire se résume à un plateau-télé, son petit frère est une teigne de première, et ses profs sont aussi passionnants qu'une assiette de nouilles froides. « Tu parles d'une jeunesse ! s'écrie Jenny. Je vais finir vieille et ratatinée comme maman ! » Mais la vie lui réserve une jolie surprise : le beau David Slater… À partir de 11 ans.

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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