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  • Auteurs: Berthe Bernage
  • Auteurs: Eugène d'Henry
Brigitte et les coeurs heureux (Berthe Bernage) - Editions Gautier-Languereau
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Brigitte et les coeurs heureux (Berthe Bernage)

12,00 €
Brigitte vient de marier sa dernière-née, cette Marie-Agnès longtemps hésitante devant le choix d'un époux. Mais elle fut conquise par la personnalité de Sylvain Iribara, étudiant en médecine venu du pays basque et aussi original qu'elle-même. Un peu trop, au gré de l'entourage que chérit cette belle Marie-Agnès, qui s'inquiète des fantaisies des jeunes mariés. Refusant fièrement l'aide de la famille, ils ne seront pas riches au début ! Ils prennent donc un modeste logis au douzième étage de l'un de ces blocs qui s'élèvent peu à peu dans la zone parisienne, là où il y avait des champs. Décor et milieu nouveaux pour eux. Mais ils s'y trouvent heureux. « On prétend, dit gaiement la jeune femme, que les gens heureux n'ont pas d'histoire. Mais il y a bien des manières d'être heureux. Et désirons-nous tellement vivre sans histoire ? » L'histoire dont rêvent ces deux audacieux : aller en Afrique où il ferait son service militaire comme médecin, où elle aurait un poste de professeur. Aussi, verrait-on du pays, travaillerait-on au développement d'une population en évolution. En attendant de partir, ils se font aimer et rendent service dans leur quartier populaire ; et ils arrivent à trouver de la grandeur au paysage sans charme, parce que leur âme est grande et que, par-dessus les chantiers de construction, les espaces libres du ciel deviennent le champ d'évasion de leur pensée et de leur amour. Oui, il y a bien des manières d'être heureux. Mais l'histoire de leur vie ne va-t-elle pas devenir dure ? La bravoure et la joie pourront-elles tenir devant l'épreuve ?

N° 1482 - Sur la route sanglante (Eugène d'Henry)

3,05 €
Extrait : — Dis-moi, elle est très bien, cette grande brune. C'est la gouvernante de Jacqueline ? Marcel Deraker hésita un peu avant de répondre : — Oui. Pourquoi ris-tu ? — Moi ? Je ris ? Je souris, tout au plus… Jean Pertuis creusa un instant, du bout de son soulier, le sable de la plage. Devant eux, la côte plate s'allongeait, brûlée de soleil d'août. La mer grise, cette Manche qui commençait à s'appeler la Mer du Nord, flambait de mille paillettes d'argent qui étaient de menues vagues. Un gros cargo siffla au loin, demandant le pilote.Pertuis avait relevé son visage égayé et dévisageait Marcel : — Je souris en songeant que cette gouvernante de jeune fille gouvernerait volontiers… certain jeune homme. — Mais je je désire pas être gouverné, moi ! J'ai trop de volonté pour cela !…
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