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  • Auteurs: Berthe Bernage
  • Auteurs: Félix Léonnec
Brigitte et les coeurs heureux (Berthe Bernage) - Editions Gautier-Languereau
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Brigitte et les coeurs heureux (Berthe Bernage)

12,00 €
Brigitte vient de marier sa dernière-née, cette Marie-Agnès longtemps hésitante devant le choix d'un époux. Mais elle fut conquise par la personnalité de Sylvain Iribara, étudiant en médecine venu du pays basque et aussi original qu'elle-même. Un peu trop, au gré de l'entourage que chérit cette belle Marie-Agnès, qui s'inquiète des fantaisies des jeunes mariés. Refusant fièrement l'aide de la famille, ils ne seront pas riches au début ! Ils prennent donc un modeste logis au douzième étage de l'un de ces blocs qui s'élèvent peu à peu dans la zone parisienne, là où il y avait des champs. Décor et milieu nouveaux pour eux. Mais ils s'y trouvent heureux. « On prétend, dit gaiement la jeune femme, que les gens heureux n'ont pas d'histoire. Mais il y a bien des manières d'être heureux. Et désirons-nous tellement vivre sans histoire ? » L'histoire dont rêvent ces deux audacieux : aller en Afrique où il ferait son service militaire comme médecin, où elle aurait un poste de professeur. Aussi, verrait-on du pays, travaillerait-on au développement d'une population en évolution. En attendant de partir, ils se font aimer et rendent service dans leur quartier populaire ; et ils arrivent à trouver de la grandeur au paysage sans charme, parce que leur âme est grande et que, par-dessus les chantiers de construction, les espaces libres du ciel deviennent le champ d'évasion de leur pensée et de leur amour. Oui, il y a bien des manières d'être heureux. Mais l'histoire de leur vie ne va-t-elle pas devenir dure ? La bravoure et la joie pourront-elles tenir devant l'épreuve ?

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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