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  • Auteurs: Berthe Bernage
  • Auteurs: Maurice Bernard
Brigitte et les coeurs heureux (Berthe Bernage) - Editions Gautier-Languereau
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Brigitte et les coeurs heureux (Berthe Bernage)

12,00 €
Brigitte vient de marier sa dernière-née, cette Marie-Agnès longtemps hésitante devant le choix d'un époux. Mais elle fut conquise par la personnalité de Sylvain Iribara, étudiant en médecine venu du pays basque et aussi original qu'elle-même. Un peu trop, au gré de l'entourage que chérit cette belle Marie-Agnès, qui s'inquiète des fantaisies des jeunes mariés. Refusant fièrement l'aide de la famille, ils ne seront pas riches au début ! Ils prennent donc un modeste logis au douzième étage de l'un de ces blocs qui s'élèvent peu à peu dans la zone parisienne, là où il y avait des champs. Décor et milieu nouveaux pour eux. Mais ils s'y trouvent heureux. « On prétend, dit gaiement la jeune femme, que les gens heureux n'ont pas d'histoire. Mais il y a bien des manières d'être heureux. Et désirons-nous tellement vivre sans histoire ? » L'histoire dont rêvent ces deux audacieux : aller en Afrique où il ferait son service militaire comme médecin, où elle aurait un poste de professeur. Aussi, verrait-on du pays, travaillerait-on au développement d'une population en évolution. En attendant de partir, ils se font aimer et rendent service dans leur quartier populaire ; et ils arrivent à trouver de la grandeur au paysage sans charme, parce que leur âme est grande et que, par-dessus les chantiers de construction, les espaces libres du ciel deviennent le champ d'évasion de leur pensée et de leur amour. Oui, il y a bien des manières d'être heureux. Mais l'histoire de leur vie ne va-t-elle pas devenir dure ? La bravoure et la joie pourront-elles tenir devant l'épreuve ?

N° 230 - Le passé est mort (Maurice Bernard) - Yvonne DE CARLO en couverture

3,50 €
Le passé est mort Roman d'amour inédit par Maurice Bernard Extrait : — Une transfusion est nécessaire immédiatement, dit le professeur Malret, après qu'il eût examiné le blessé qui venait d'être transporté dans sa clinique. Celui-ci avait été trouvé chez lui, baignant dans une mare de sang, le poignet gauche portant la marque d'une entaille profonde par où s'était échappé la vie. Un coup de téléphone avait prévenu le service intéressé de la clinique de l'urgence du transport. Dans le portefeuille du jeune homme on avait trouvé ses papiers d'identité. Il s'appelait Jean Berty, 25 ans, demeurant rue Mercelis, pas très loin de la clinique. Sa carte portait comme profession : peintre. C'est tout ce qu'on savait de lui. Il était là, livide, sur la civière roulante. Aucun signe de vie ne se manifestait en lui. On l'aurait cru mort si les faibles pulsations qui se révélaient encore au pouls n'avaient prouvé le contraire…
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