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  • Auteurs: Brigitte Balmes
  • Auteurs: Léopold Remon
  • Auteurs: Tudor

Les inséparables raflent tout (Tudor) - Lecture et Loisir N° 23

2,95 €
Chers enfants, À moins que vous ne vouliez que je devienne complètement fou, je vous prie de cesser de m'écrire pour me demander comment rencontrer les INSÉPARABLES. Je suis comme vous : dès que je vois leur sigle, je me précipite, car je sais qu'ils ne sont pas loin ! La dernière fois que je les ai vus - c'était le jour même du Mai - ils cherchaient désespérément 800 kilos de papier et de carton, tout en essayant de donner un coup de main à un géant, à un père (de tortue, s'entend), à une inventrice et à un Inspecteur de Police à la recherche d'un « ami du silence » qui, à son tour, voulait… Bref, vous verrez en lisant le livre. Maintenant, pour revenir à moi, tout dépend de vous. Si vous avez des nouvelles des INSÉPARABLES, faites-moi signe. Merci. TUDOR P.S. : Pour ne pas réveiller à ma place mon ami le meunier (vous voyez ce que je veux dire : « Meunier, tu dors… »), voici ma photo. Comme ça, vous ne courrez pas le risque que le meunier, en se réveillant, renverse la farine qui, tombant sur la casquette du facteur, l'énerverait au point qu'il giflerait le fleuriste qui, à son tour, se vengerait sur le boulanger, etc., etc. Légende des déclinaisons  : JAUNE pour les romans étrangers pour la jeunesse ; BLEU pour les jeunes de 11 à 15 ans ; ROUGE pour les enfants de 6 à 11 ans ; VERT pour les récits scientifiques et historiques.

Mes p'tites questions : Lire et écrire (Brigitte Balmes)

4,50 €
Pour un enfant, lire et écrire est un apprentissage majeur.  Ce livre répond aux questions essentielles que les enfants se posent sur ce thème :  Qui a inventé l’écriture ?, À  quoi ça sert ?,  Est-ce que tout le monde lit et écrit dans le même sens ?,  Pourquoi lit-on  les mangas à l’envers ?, Peut-on vivre sans savoir lire et écrire ?, Est-ce que les livres ont toujours existé ?… De 6 à 8 ans.

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
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