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Il y a 7 produits.

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  • Auteurs: Brigitte Smadja
  • Auteurs: Netty Delance
  • Auteurs: Roger Delvart

Oublie-moi un peu, papa ! (Brigitte Smadja)

2,96 €
Naomi s’apprête à passer un jour parfait, en fêtant sur une péniche les dix ans de sa meilleure amie, Valentine, quand ses parents lui annoncent qu’ils se séparent. Il y aura un avant et il y aura un après. Avant ? Son père était souvent absent, indisponible, absorbé par son travail de chercheur en mathématiques. À présent ? Il a déménagé dans un appartement moderne, il fait les courses, il cuisine, il organise des sorties, au musée, à la piscine, prévoit des tas d’activités… Naomi voudrait bien que son père modèle la lâche un peu, qu’il l’aime toujours mais qu’il cesse de vouloir s’occuper d’elle chaque seconde qu’ils passent ensemble. Comment le lui dire sans lui faire de peine ? De 8 à 11 ans.

Le cabanon de l'oncle Jo (Brigitte Smadja)

2,96 €
Lili ne peut pas aller en colo avec ses frères. Elle passera ses vacances à Saint-Denis chez tata Denise, l'oncle Jo, et ses sept cousins. C'est une grande famille qui fait beaucoup de bruit. Mais l'oncle Jo est silencieux et il passe ses journées à regarder par la fenêtre un terrain vague. « Ma pauvre Denise », disent les voisines. « Dieu nous protège », répond tata Denise. Un jour, l'oncle Jo disparaît. Lili attend son retour et voit, sur le terrain vague, une porte qui avance toute seule.

Mon royaume est un cheval : Recueil de nouvelles

3,25 €
Jouer le cheval, à l’occasion d’une représentation théâtrale ? C’est une chance d’être seul en scène, ou presque, pour la première fois avec l’élue de son coeur. Ne pas vouloir se séparer de son cheval ? C’est marquer son originalité, occuper sa place et, bientôt, transmettre à quelqu’un qui le mérite son bien le plus précieux. Monter à cheval, lentement mais sûrement ? C’est, pour un escargot de conte, la seule façon de grandir, de voyager loin et de se faire un ami, un vrai, à la vie, à la mort. Voir passer, sur une plage, un cheval rebelle au galop ? C’est le déclic qui manquait à une adolescente pour décider d’être elle-même et d’affirmer son goût pour les choses absurdes et merveilleuses, comme les versions latines. Pour tous, un cheval, c’est plus qu’un cheval. C’est la vie ! De 8 à 11 ans.

N° 1558 - Vengeance posthume (Netty Delance)

3,05 €
Extrait : Antonio Tempico s'approcha de la fenêtre, se pencha sur le jardin, d'où montait le rire clair de Madalena. Madalena riait, Madalena était heureuse ! Il n'en fallait pas plus pour le remplir d'une profonde joie. Depuis dix ans, depuis la mort de sa femme, il ne vivait que pour sa fille, sans autre but que la combler, la choyer, lui faire une existence douce. Il travaillait, il gagnait de l'argent, beaucoup d'argent… pour elle. Et, s'il avait de l'ambition, c'était encore et uniquement pour elle. Il s'était promis que, lorsqu'elle aurait dix-huit ans, elle serait une des jeunes filles les plus richement dotées du pays. Il avait eu le courage, alors qu'elle n'était âgée que de huit ans, de s'en séparer, de la confier à une nourrice, et de s'enfoncer dans le fin fond du Mexique pour essayer d'y faire fortune. Plusieurs années durant, il avait mené la vie rude des prospecteurs de pétrole. La chance avait fini par lui sourire. Il se hâta de vendre le terrain pétrolifère qu'il avait découvert et vint s'installer dans une des régions tempérées — terras templados — du pays, sur les contreforts de la Sierra Madre , face au golfe de la Californie…

N° 1710 - Esclave du désir (Netty Delance)

3,74 €
Extrait : D'un même mouvement, tous les pensionnaires déjà attablés inclinèrent la tête avec un rapide coup d'oeil vers la porte. L'homme à qui s'adressait ce salut collectif — en réponse au sien — se désintéressa d'ailleurs immédiatement de l'assistance et gagna à grands pas la table qui lui était réservée. La pension de famille de Mlle Vertuchon comptait deux genres de clientèle : celle qui prenait ses repas à la table d'hôte et la clientèle plus restreinte mais privilégiée qu'on servait par petites tables. A vrai dire, les menus et les rations étaient les mêmes, et la très sensible différence de prix n'était pas justifiés par le blanchissage du linge — on servait sur des nappes de papier. C'était donc, tout simplement, une sorte de taxe supplémentaire imposée aux quelques individualistes qui préféraient la solitude ou l'intimité à la conversation générale, et leurs aises au coude-à-coude… Yvonne, la grosse servante dont les vingt ans opulents se passaient — à tort ! — de soutien-gorge, appelait ironiquement ces délicats les « serviettes » par opposition aux « torchons » qui constituaient le gros des pensionnaires…

N° 1427 - Le rappel du passé (Roger Delvart)

2,92 €
Extrait : — Inutile d'insister, Maître. Le malade ne peut recevoir personne. Tel est l'ordre formel du docteur Morier. — Je comprends, Mademoiselle, et je m'incline devant un tel ordre, mais le motif qui excuse ma visite est grave. Malgré tous mes efforts mon client se refuse à parler ; c'est sa tactique depuis le geste malheureux… — Dites l'assassinat, Maître ! M. Desauriers a été à deux doigts de la mort et, encore, actuellement, le traumatisme dont il fut l'objet laisse planer les plus vives inquiétudes. Dieu sait s'il retrouvera jamais la santé et, surtout, la raison. — Comment, on redoute ? — Tout. Vous voyez que vos visites sont inutiles… — Mais ce serait affreux. Cet infortuné !… Un geste de l'infirmière éleva une sorte de protestation muette tandis que sa bouche esquissait une mine réprobatrice…

N° 1672 - L'impossible vengeance (Netty Delance)

3,74 €
Extrait : — Je t'assure, dit Simone en riant, que nous sommes venues par là !... Claudine haussa les épaules sans cacher sa mauvaise humeur : — Avec toi, on a toujours des avatars de ce genre !... Il était si simple, trop simple, sans doute, de rester avec les autres, devant la terasse... Mais non, il a fallu aller visiter le parc !... La prochaine fois, je te laisserai aller seule. Au lieu de se fâcher, Simone pouffait. Elle était aussi « parigote » et fille des faubourgs, avec son petit nez en l'air et son accent, que Claudine était racée, distinguée, d'une dignité un peu hautaine d'ailleurs. Et leurs caractères étaient tels que le laissait deviner leur aspect respectif. Belle et dominatrice, Claudine avait, dès son entrée dans la maison Jean-Jacques Flath, subjugué sa camarade de travail dont le coeur sensible ne demandait qu'à se dévouer…
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