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  • Auteurs: Bruno Muscat
  • Auteurs: Frédéric Chevaux
  • Auteurs: Lili S. Junod
Tout ce qui est arrivé d'extraordinaire à Hector - Frédéric Chevaux - Maximax - L'Ecole des loisirs
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Tout ce qui est arrivé d'extraordinaire à Hector (Frédéric Chevaux)

2,95 €
Dans la vie d’Hector il y a : • un héros (c’est lui) ; • un lieu ou deux (la maison et l’école) ; • une personne qui aide le héros (son ami Elliot, ou parfois sa soeur Ludivine) ; • un but à atteindre (rester le maître de sa vie). Et il y a aussi : • une faiblesse (Hector a peur) ; • un méchant (on le découvrira bientôt) ; • un événement imprévisible (ou même plusieurs) ; • et des rebondissements. Pas de doute, la vie d’Hector ressemble à une série télévisée. Mais comment devenir vraiment un héros ? Il va falloir être à la hauteur. De 8 à 11 ans.

Princesse Zélina T2 : La fille du sultan & Prisonniers du dragon (Bruno Muscat, Edith)

3,75 €
La fille du sultan Le sultan d'Iskandar est de passage à Obéron pour rendre visite au roi Igor. Sa fille, Yasmine, se lie d'amitié avec Zélina. Yasmine est la seule à pouvoir pénétrer dans la cage de Krodor, un lion féroce, gardien d'un précieux diamant. Le démoniaque Belzékor voit là le moyen de se débarrasser de Zélina… Prisonniers du dragon Zélina est inquiète : Malik son amoureux est parti en expédition scientifique dans les montagnes noires et elle n'a plus de nouvelles depuis trois semaines ! Un matin, la nouvelle tombe : l'expédition est portée disparue. Zélina décide de partir à sa recherche… À partir de 7 ans.

N° 1631 - La cavalière de minuit (Lili S. Junod)

3,74 €
Extrait : Juste Delrode vida sa pipe d'un geste familier en la toquant à petits coups secs contre le mur de l'âtre où rougeoyaient les derniers tisons. Son visage boucané par les intempéries, la vie en plein air, les épreuves des dernières années de guerre, reflétait une expression maussade, accentuant la dureté du regard enfoncé et des lèvres minces qui jamais ne souriaient. Sa femme, la Maria, effacée, humble, toujours craintive devant ce maître redouté qui, jadis, l'avait choisie pour sa beauté, alors qu'elle n'était qu'une pauvre orpheline élevée par les soeurs, épiait en tremblant les signes de contrariété silencieuse qu'elle voyait figer les traits de Juste. Sa bonne figure douce gardait malgré le temps et l'âge une finesse exquise, le même bleu pur des yeux, un bleu de vitrail au soleil, étonnamment clair. Soudain tonna la voix de son homme : — Dis donc, la Maria ! Sais-tu ben qu'not'fille a fait tant d'progrès qu'la maîtresse d'école voudrait qu'al aille finir d'étudier dans eun'ville de par ici ? Ça m'plaît point, j'te l'dis tout franc…
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