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  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Cécile Roumiguière
  • Auteurs: Olaf Swenson

Rouge Bala (Cécile Roumiguière, Justine Brax)

5,87 €
Bala aime faire la course avec son frère. Elle aime rire avec sa copine Ashna. Douze ans, c'est un bel âge pour jouer… Bala aimait rêver avec sa grande soeur Lali. Mais sa soeur chérie est partie vivre chez son mari. Douze ans, c'est aussi l'âge où l'on parle mariage dans son pays. Album 8 ans et +

Au pays du renard blanc (Olaf Swenson) - Souvenirs d'un trafiquant de fourrures

5,80 €
Le Pays du Renard Blanc, c'est la Sibérie septentrionale, vaste étendue de toundras glacées, aux fleuves immenses, où les animaux à fourrure sont plus nombreux que partout au monde. La vie d'Olaf Swenson, fils d'un suédois émigré, s'est passée en allées et venues incessantes, de l'Alaska aux côtes sibériennes, par le détroit de Behring, pour assurer un commerce d'échange vital entre les Etats-Unis et cette région quasi désertique de la Russie d'Asie. Chacune des quarante années de sa carrière de trafiquant de fourrures a été fertile en aventures de toutes sortes : navigations dans les dangereuses mers arctiques, hivernages forcés, raids en traîneaux à chiens et à rennes, pittoresques collectes des fourrures et la chasse ! Son livre fourmille d'histoires étonnantes, où le pathétique le dispute sans cesse à l'humour, et qui mettent en relief le courage, la solidarité, l'énergie incroyable de ces coureurs des glaces autant que l'endurance et la résignation des Sibériens, pauvres et hospitaliers, perdus dans ce pays infernal. Les jeunes garçons et filles à partir de 10 ans, aimeront ce roman vécu du Grand Nord, plein d'émotion et de gaïté, dans lequel on sent passer le vent pur et salubre du pôle.

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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