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  • Auteurs: Cécile d'Argel
  • Auteurs: Marguerite Soleillant
Pour sauver le prince... (Cécile d'Argel) - Bibliothèque Rouge et Or Souveraine N° 670
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N° 670 - Pour sauver le prince... (Cécile d'Argel)

9,50 €
Ce jour du mois de juin 1745, Alistair, fils du laird écossais Gavin Mc Allan de Clanranard, est de fort mauvaise humeur : il doit aller accueillir, à son arrivée en France, Armande de Boisrond, sa cousine, âgée comme lui de douze ans. Etant fille, Armande ne peut être qu'une pécore, songe Alistair. Toutefois, son déplaisir est compensé par la joie de revoir son père et son oncle, qui accompagnent la fillette. Nul doute qu'ils ne rapportent de France des nouvelles du jeune Charles-Edouard Stuart, le fils du Prétendant d'Ecosse, qu'Alistair aime de tout son coeur et pour lequel il voudrait bien donner sa vie. Une aventure passionnante attend Armande et son cousin, qui, bien entendu, ne tarderont pas à devenir deux inséparables. De 12 à 16 ans.

Corinne l'aventureuse (Marguerite Soleillant)

12,00 €
Extrait : Chapitre I : LA MAISON DES BRODEUSES Sous le feuillage d'un grand frêne, à l'écart du village, il y avait la maison des brodeuses. Elle était petite cette maison et basse sous son toit de tuiles brunes où des plaques de mousse posaient leur éclat d'or. A côté de la porte une large fenêtre brillait de tous ses carreaux, derrière un pot de géranium en fleurs. Dans le pignon, sur le rebord de l'autre fenêtre plus étroite, était posée une cage de chardonnerets. Les chardonnerets pépiaient dans leur prison ; le vent chantait aux branches du frêne. Le soleil marquait 5 heures au-dessus de la montagne. La porte s'ouvrit. Menue dans sa robe de bure bien froncée à la taille, un pli d'inquiétude au front, une vieille femme s'avança sur la marche du seuil. Elle abrita  ses yeux avec sa main pour fouiller du regard le chemin montant entre les murettes de pierre où couraient des lézards. « Je ne la vois pas revenir, dit-elle, rentrant dans la maison. — Il n'est pas encore tard, grand-mère, » répondit une fillette, assise devant un métier à broder, près de la fenêtre. « Il n'est pas tard, mais elle sait bien que nous avons du travail et qu'il faudrait t'aider, et que mes pauvres yeux ne voient plus pour enfiler des aiguilles. Ah! si je ne t'avais pas pour me consoler, Eléonore !… »
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