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  • Auteurs: C. Fongrave
  • Auteurs: Francard
  • Auteurs: Frances Burnett

N° 465 - Le petit lord Fauntleroy (Frances Burnett)

9,00 €
Un des plus jolis ouvrages dont on puisse offrir la lecture aux jeunes enfants de 8 à 12 ans et qui ne déplaira pas aux moins jeunes. Un petit garçon, élevé en Amérique par sa maman veuve, se fait, par sa gentillesse, des amis dans des milieux très divers. Il mène une vie simple, guidé par sa maman qu'il adore et qui cherche à lui former un coeur droit et franc. Mais le jeune Cédric est appelé brusquement en Angleterre chez son grand-père paternel, un vieux lord orgueilleux et dur, mal disposé envers sa belle-fille qu'il méprise sans la connaître. Le récit est charmant et met en scène des personnages pittoresques décrits d'amusante façon. A travers l'interprétation française perce l'humour anglais qui accroît l'attrait de cette lecture, qui peut être offerte aussi bien aux filles qu'aux garçons. L'auteur a su donner à son oeuvre un rôle moralisateur dont les lecteurs bénéficieront sans s'en douter, tant l'exaltation des bons sentiments est faite avec bonne humeur et discrétion. G. F. de 8 à 12 ans.

FATUM T2 : Premières armes (Froideval, Francard)

12,00 €
Le nouveau parrain règne depuis peu sur la mafia mondiale. Il contrôle déjà trois familles ; du coup, les autres ont décidé de l'abattre. Le nouveau « Don Cenettone » a plein de problèmes… Le plus grand d'entre eux, c'est qu'il n'a que 12 ans !

FATUM T3 : L'ultime assassin (Froideval, Francard)

8,00 €
Résumé des épisodes précédents : Le Parrain est mort et l'héritier a pris la relève : Don Cenetonne, 12 ans. Mais personne n'ayant l'intention de se laisser diriger par un moutard, les familles ont déclenché une guerre à laquelle le moutard a répondu avec une étonnante efficacité. Après une suite ininterrompue de carnages et d'enterrements, Don Cenetonne s'en va en week-end avec sa Nadine adorée, une superbe blonde spécialisée dans la sécurité rapprochée. Ils en profitent pour s'avouer leur amour, mais Nadine, qui sait tuer un homme de 432 façons, ne sait pas quoi faire avec un gamin de douze ans. Dieu merci, ils ont d'autres sujets de préoccupation, car les familles rêvent toujours de trucider Don Cenetonne. Et pendant qu'on lui prépare une entourloupe à Tokyo pour la prochaine réunion, on lui envoie à domicile deux " ultimes assassins " - un couple de jumeaux plutôt chochottes mais très méchants et très bien équipés. Agression à laquelle Don Cenetonne répond avec son brio habituel. La prochaine fois, ça va barder à Tokyo. Et nous attendons avec impatience la suite de cette série d'anticipation explosive, qui manie la cruauté sanglante — « il n'y a pas de manière gentille de tuer quelqu'un » — avec humour et bonne humeur.

N° 1031 - Ce que femme veut ! (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Elle lui tenait les deux mains et le considérait avec tendresse : — Voyons, Pierre, du courage ! Père changera peut-être d'idée. Actuellement il semble buté et il serait dangereux de le harceler. Le jeune homme sourit avec amertume : — Si tu m'aimais autant que je t'aime, tu ne me conseillerais pas aussi aisément la patience. Des larmes brillèrent au bord de ses longs cils dorés et elle serra plus fort les mains de l'aimée : — Ne dis pas cela, tu me déchires le coeur. Je ne te conseille pas la patience, mais la sagesse. Père tient absolument à ce que son gendre soit riche ; il ne veut pas, prétend-il, que je connaisse la médiocrité dans laquelle il a vécu toute sa vie. Tu sais que cette pauvreté auprès de toi ne m'effrayerait pas, mais il affirme que j'ignore tout de l'existence. Nous en sommes là. Evidemment, c'est triste, mais comment passer outre sans causer un mortel chagrin à mon pauvre papa…

N° 922 - L'épreuve sentimentale (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Les deux jeunes gens se serrèrent la main cordialement et Jean s'éloigna à grands pas, se dirigeant vers le château. A une courte distance, il ralentit et balbutia, se parlant à lui-même : — Pauvre Roger !… Je comprends sa pensée, quoiqu'il la taise avec soin… Mais je n'y puis rien… Pierrette m'aime… et moi je l'adore, le hasard a tout fait. Il leva la tête et aperçut le château, tout près, qui formait une tache grise au milieu de la verdure. Son regard se tourna machinalement vers une des fenêtres du rez-de-chaussée et un sourire détendit ses traits. Aussitôt, il marcha plus vite et escalada le perron. Comme il franchissait le seuil, une voix rieuse s'écria : — Comme ru es resté longtemps, vagabond !…
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