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  • Auteurs: C. Fongrave
  • Auteurs: Laure Thibault

N° 3310 - Chante ma vie d'après le roman de Laure Thibault

3,75 €
Extrait : Sur l'océan d'un bleu profond, de nombreux voiliers paressaient. En ce milieu d'après-midi, Acapulco déroulait ses plages de sable blond pour le plus grand plaisir de tous. Dans l'île de Roqueta, face à la baie, deux femmes se trouvaient au bord de la piscine surplombant l'océan, sous des parasols de toile beige. La plus jeune se tourna vers sa compagne. — Miquel me raconte sa vie…

N° 172 - Chante ma vie (Laure Thibault)

1,60 €
Les ténèbres mêlaient le jour et la nuit, l'orage jetait le ciel sur la terre, et le destin s'empara de la vie de Soana pour la diriger à sa guise. Un homme sortit de l'ombre, un être hors du commun, une idole pour l'amour. — Ne laissez pas passer la chance ! lui ordonne Miguel Vargas. Saura-t-il la tirer du néant affectif où elle se complaît ?…

N° 1031 - Ce que femme veut ! (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Elle lui tenait les deux mains et le considérait avec tendresse : — Voyons, Pierre, du courage ! Père changera peut-être d'idée. Actuellement il semble buté et il serait dangereux de le harceler. Le jeune homme sourit avec amertume : — Si tu m'aimais autant que je t'aime, tu ne me conseillerais pas aussi aisément la patience. Des larmes brillèrent au bord de ses longs cils dorés et elle serra plus fort les mains de l'aimée : — Ne dis pas cela, tu me déchires le coeur. Je ne te conseille pas la patience, mais la sagesse. Père tient absolument à ce que son gendre soit riche ; il ne veut pas, prétend-il, que je connaisse la médiocrité dans laquelle il a vécu toute sa vie. Tu sais que cette pauvreté auprès de toi ne m'effrayerait pas, mais il affirme que j'ignore tout de l'existence. Nous en sommes là. Evidemment, c'est triste, mais comment passer outre sans causer un mortel chagrin à mon pauvre papa…

N° 922 - L'épreuve sentimentale (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Les deux jeunes gens se serrèrent la main cordialement et Jean s'éloigna à grands pas, se dirigeant vers le château. A une courte distance, il ralentit et balbutia, se parlant à lui-même : — Pauvre Roger !… Je comprends sa pensée, quoiqu'il la taise avec soin… Mais je n'y puis rien… Pierrette m'aime… et moi je l'adore, le hasard a tout fait. Il leva la tête et aperçut le château, tout près, qui formait une tache grise au milieu de la verdure. Son regard se tourna machinalement vers une des fenêtres du rez-de-chaussée et un sourire détendit ses traits. Aussitôt, il marcha plus vite et escalada le perron. Comme il franchissait le seuil, une voix rieuse s'écria : — Comme ru es resté longtemps, vagabond !…
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