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  • Auteurs: C. Fongrave
  • Auteurs: Darlene Gardner
  • Auteurs: Lise Mélinand

N° 1317 - Un fiancé pour Noël (Darlene Gardner)

2,15 €
Anna ne comprend pas ce qui l’a poussée à inviter Cole Mansfield à passer le soir de Noël chez ses parents ! Bien sûr, elle a eu pitié de son nouvel adjoint lorsqu’elle a appris qu’il devait passer le réveillon seul. Mais est-ce suffisant pour expliquer cette invitation ? D’autant que sa famille va s’imaginer qu’elle vient leur présenter l’homme de sa vie ! Et même si elle est fortement attirée par le séduisant Californien, elle se méfie de lui aussi, car elle a la nette impression qu’il brigue son poste. Et ça, Anna ne veut même pas y songer, parce que son travail, c’est toute sa vie. Mais lorsque Cole la suit jusqu’au chalet de montagne où elle passe la fin de l’année et qu’il déploie tout son charme pour la séduire, elle ne sait plus que penser…

N° 1031 - Ce que femme veut ! (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Elle lui tenait les deux mains et le considérait avec tendresse : — Voyons, Pierre, du courage ! Père changera peut-être d'idée. Actuellement il semble buté et il serait dangereux de le harceler. Le jeune homme sourit avec amertume : — Si tu m'aimais autant que je t'aime, tu ne me conseillerais pas aussi aisément la patience. Des larmes brillèrent au bord de ses longs cils dorés et elle serra plus fort les mains de l'aimée : — Ne dis pas cela, tu me déchires le coeur. Je ne te conseille pas la patience, mais la sagesse. Père tient absolument à ce que son gendre soit riche ; il ne veut pas, prétend-il, que je connaisse la médiocrité dans laquelle il a vécu toute sa vie. Tu sais que cette pauvreté auprès de toi ne m'effrayerait pas, mais il affirme que j'ignore tout de l'existence. Nous en sommes là. Evidemment, c'est triste, mais comment passer outre sans causer un mortel chagrin à mon pauvre papa…

N° 922 - L'épreuve sentimentale (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Les deux jeunes gens se serrèrent la main cordialement et Jean s'éloigna à grands pas, se dirigeant vers le château. A une courte distance, il ralentit et balbutia, se parlant à lui-même : — Pauvre Roger !… Je comprends sa pensée, quoiqu'il la taise avec soin… Mais je n'y puis rien… Pierrette m'aime… et moi je l'adore, le hasard a tout fait. Il leva la tête et aperçut le château, tout près, qui formait une tache grise au milieu de la verdure. Son regard se tourna machinalement vers une des fenêtres du rez-de-chaussée et un sourire détendit ses traits. Aussitôt, il marcha plus vite et escalada le perron. Comme il franchissait le seuil, une voix rieuse s'écria : — Comme ru es resté longtemps, vagabond !…
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