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  • Auteurs: C. Fongrave
  • Auteurs: Jean d'Astor
  • Auteurs: Louise Fuller

N° 3801 - Un ardent face-à-face (Louise Fuller)

2,98 €
Flora peine à y croire. Ce Massimo Sforza pense-t-il vraiment qu’elle se laissera acheter de la sorte ? Maintenant qu’elle a enfin trouvé son havre de paix, il est hors de question qu’elle abandonne le palazzo aux mains de ce milliardaire impertinent qui désire le transformer en complexe hôtelier de luxe ! Peu importe le prix qu’il lui propose, elle ne cédera pas. Car elle en est convaincue : aucune somme d’argent ne pourrait acheter la sérénité que cet endroit lui procure. Massimo, aussi charmant et intimidant soit-il, peut bien lui imposer de cohabiter avec lui, rien ne la fera fléchir…

Les voleurs de Sophie (Jean d'Astor)

6,98 €
Sophie est la jeune fille la plus exquise que l'on puisse rêver : jolie, intelligente, bien élevée ! Un seul défaut : elle a un faible pour les mauvais garçons. Son excuse : très jeune elle a perdu sa mère et, personne ne surveillant ses lectures, elle s'est intoxiquée de romans policiers. Elle en vient à se passionner pour les exploits de Maxime Brochet, gentleman cambrioleur célèbre digne émule d'Arsène Lupin. Le père de Sophie s'inquiète de ce penchant bizarre, mais c'est surtout sa tante Géraldine, vieille demoiselle pittoresque, qui tire la sonnette d'alarme : qu'adviendra-t-il si Sophie, un jour, se trouve réellement aux prises avec un mauvais garçon ? Or, au cours d'un bal costumé, Sophie danse avec un bel inconnu dont elle tombe éperdument amoureuse. Qui est-il ? Ses propos sont bien étranges, son comportement plus étrange encore…

La belle et le menteur (Jean d'Astor)

2,98 €
Soudain, juste avant l'arrivée, une voiture surgit d'un petit chemin sur la gauche. Les freins hurlent, mais trop tard, et les deux capots s'immobilisent dans un choc violent... Rien de grave, sinon que Jean-François est un simple vendeur de voitures et que cette luxueuse Jaguar n'est pas à lui : il a pour mission de la conduire chez un milliardaire américain, J.F. Lackson, qui vient d'acquérir une propriété en Touraine. Rien de grave, sinon qu'au volant de la voiture adverse se trouve une ravissante jeune fille, Claudine, dont Jean-François tombe instantanément amoureux. Si bien qu'il n'a pas le courage de la détromper quand elle le prend pour Lackson... Un mensonge innocent — mais qui va connaître des prolongements inattendus. Car le hasard malicieux multiplie les quiproquos autour du jeune homme et, bientôt, une idée extravagante germe dans son esprit : pour revoir Claudine, pour s'accorder pendant une semaine une illusion de bonheur, il va se lancer dans la plus folle des aventures. L'amour lui donne toutes les audaces. Jonglant avec les difficultés et les risques, il réussit à vivre intensément son rêve... Mais quel sera le réveil ? Il se le demande anxieusement dès le premier jour — et le lecteur dès les premières pages...

N° 1031 - Ce que femme veut ! (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Elle lui tenait les deux mains et le considérait avec tendresse : — Voyons, Pierre, du courage ! Père changera peut-être d'idée. Actuellement il semble buté et il serait dangereux de le harceler. Le jeune homme sourit avec amertume : — Si tu m'aimais autant que je t'aime, tu ne me conseillerais pas aussi aisément la patience. Des larmes brillèrent au bord de ses longs cils dorés et elle serra plus fort les mains de l'aimée : — Ne dis pas cela, tu me déchires le coeur. Je ne te conseille pas la patience, mais la sagesse. Père tient absolument à ce que son gendre soit riche ; il ne veut pas, prétend-il, que je connaisse la médiocrité dans laquelle il a vécu toute sa vie. Tu sais que cette pauvreté auprès de toi ne m'effrayerait pas, mais il affirme que j'ignore tout de l'existence. Nous en sommes là. Evidemment, c'est triste, mais comment passer outre sans causer un mortel chagrin à mon pauvre papa…

N° 922 - L'épreuve sentimentale (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Les deux jeunes gens se serrèrent la main cordialement et Jean s'éloigna à grands pas, se dirigeant vers le château. A une courte distance, il ralentit et balbutia, se parlant à lui-même : — Pauvre Roger !… Je comprends sa pensée, quoiqu'il la taise avec soin… Mais je n'y puis rien… Pierrette m'aime… et moi je l'adore, le hasard a tout fait. Il leva la tête et aperçut le château, tout près, qui formait une tache grise au milieu de la verdure. Son regard se tourna machinalement vers une des fenêtres du rez-de-chaussée et un sourire détendit ses traits. Aussitôt, il marcha plus vite et escalada le perron. Comme il franchissait le seuil, une voix rieuse s'écria : — Comme ru es resté longtemps, vagabond !…
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