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  • Auteurs: C. Fongrave
  • Auteurs: Louise Fuller
  • Auteurs: Mei Boyington

Monstre Loup et Maître Miam (Mei Boyington)

7,20 €
Tous les animaux ont déserté la forêt, lassés de servir de pitance au loup affamé. Miam le lapin croyait trouver la tranquillité, mais les animaux sont trop nombreux et obligés de vivre les uns sur les autres dans des terriers toujours plus petits. Et que dire de la nourriture, jamais variée, toujours dégoûtante. Miam, qui est un fin gourmet, craque et vole une carotte sur un étal. Le marchand est furieux. Le lapin est obligé de fuir… dans la forêt où le loup, presque mort de faim, est ravi de le retrouver. Quoique… Miam sent vraiment très très mauvais. Mais cela suffira-t-il pour décourager le loup et éviter de finir en civet ? Source : Editions ALICE Jeunesse

N° 3801 - Un ardent face-à-face (Louise Fuller)

2,98 €
Flora peine à y croire. Ce Massimo Sforza pense-t-il vraiment qu’elle se laissera acheter de la sorte ? Maintenant qu’elle a enfin trouvé son havre de paix, il est hors de question qu’elle abandonne le palazzo aux mains de ce milliardaire impertinent qui désire le transformer en complexe hôtelier de luxe ! Peu importe le prix qu’il lui propose, elle ne cédera pas. Car elle en est convaincue : aucune somme d’argent ne pourrait acheter la sérénité que cet endroit lui procure. Massimo, aussi charmant et intimidant soit-il, peut bien lui imposer de cohabiter avec lui, rien ne la fera fléchir…

N° 1031 - Ce que femme veut ! (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Elle lui tenait les deux mains et le considérait avec tendresse : — Voyons, Pierre, du courage ! Père changera peut-être d'idée. Actuellement il semble buté et il serait dangereux de le harceler. Le jeune homme sourit avec amertume : — Si tu m'aimais autant que je t'aime, tu ne me conseillerais pas aussi aisément la patience. Des larmes brillèrent au bord de ses longs cils dorés et elle serra plus fort les mains de l'aimée : — Ne dis pas cela, tu me déchires le coeur. Je ne te conseille pas la patience, mais la sagesse. Père tient absolument à ce que son gendre soit riche ; il ne veut pas, prétend-il, que je connaisse la médiocrité dans laquelle il a vécu toute sa vie. Tu sais que cette pauvreté auprès de toi ne m'effrayerait pas, mais il affirme que j'ignore tout de l'existence. Nous en sommes là. Evidemment, c'est triste, mais comment passer outre sans causer un mortel chagrin à mon pauvre papa…

N° 922 - L'épreuve sentimentale (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Les deux jeunes gens se serrèrent la main cordialement et Jean s'éloigna à grands pas, se dirigeant vers le château. A une courte distance, il ralentit et balbutia, se parlant à lui-même : — Pauvre Roger !… Je comprends sa pensée, quoiqu'il la taise avec soin… Mais je n'y puis rien… Pierrette m'aime… et moi je l'adore, le hasard a tout fait. Il leva la tête et aperçut le château, tout près, qui formait une tache grise au milieu de la verdure. Son regard se tourna machinalement vers une des fenêtres du rez-de-chaussée et un sourire détendit ses traits. Aussitôt, il marcha plus vite et escalada le perron. Comme il franchissait le seuil, une voix rieuse s'écria : — Comme ru es resté longtemps, vagabond !…
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