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  • Auteurs: C. Fongrave
  • Auteurs: Nathalie Saint-Leu

Battements de coeur à Beattonsfield (Nathalie Saint-Leu)

2,74 €
Que va devenir Matité, la nouvelle collaboratrice de Stanley Rivers ? Dans la jungle féroce des milieux d'affaires internationaux, la jeune fille résistera-t-elle au charme énigmatique de celui qui est désormais son patron ? Les êtres sans pitié qui fréquentent le manoir de Beattonsfield lui tendent sans cesse des pièges…

N° 1031 - Ce que femme veut ! (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Elle lui tenait les deux mains et le considérait avec tendresse : — Voyons, Pierre, du courage ! Père changera peut-être d'idée. Actuellement il semble buté et il serait dangereux de le harceler. Le jeune homme sourit avec amertume : — Si tu m'aimais autant que je t'aime, tu ne me conseillerais pas aussi aisément la patience. Des larmes brillèrent au bord de ses longs cils dorés et elle serra plus fort les mains de l'aimée : — Ne dis pas cela, tu me déchires le coeur. Je ne te conseille pas la patience, mais la sagesse. Père tient absolument à ce que son gendre soit riche ; il ne veut pas, prétend-il, que je connaisse la médiocrité dans laquelle il a vécu toute sa vie. Tu sais que cette pauvreté auprès de toi ne m'effrayerait pas, mais il affirme que j'ignore tout de l'existence. Nous en sommes là. Evidemment, c'est triste, mais comment passer outre sans causer un mortel chagrin à mon pauvre papa…

En danger de Coeur (Nathalie Saint-Leu)

2,74 €
Robert Casals… Un peintre aussi sauvage que les Monts de Tolède où il s'est réfugié. Quel secret le tourmente, quel chagrin, quel remords ? Malgré les rumeurs terrifiantes qui circulent dans la montagne, Marika décide de rester. Profondément émue par la personnalité de son hôte, elle sait bien qu'elle se trouve « en danger de coeur ». Mais elle ignore encore qu'elle est en danger de vie.

N° 922 - L'épreuve sentimentale (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Les deux jeunes gens se serrèrent la main cordialement et Jean s'éloigna à grands pas, se dirigeant vers le château. A une courte distance, il ralentit et balbutia, se parlant à lui-même : — Pauvre Roger !… Je comprends sa pensée, quoiqu'il la taise avec soin… Mais je n'y puis rien… Pierrette m'aime… et moi je l'adore, le hasard a tout fait. Il leva la tête et aperçut le château, tout près, qui formait une tache grise au milieu de la verdure. Son regard se tourna machinalement vers une des fenêtres du rez-de-chaussée et un sourire détendit ses traits. Aussitôt, il marcha plus vite et escalada le perron. Comme il franchissait le seuil, une voix rieuse s'écria : — Comme ru es resté longtemps, vagabond !…
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