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  • Auteurs: C.C. Bergius
  • Auteurs: Francine Robert
  • Auteurs: Suzanne Clausse

Un soir sur la grève… (Suzanne Clausse)

4,24 €
En Angleterre, un soir sur une plage, Véronique a été le témoin furtif et angoissé d'une rixe entre deux inconnus, dont l'un s'est enfui. Un peu plus tard, rentrée en France, la jeune fille croit reconnaître l'un des antagonistes dès qu'elle rencontre Jacques-Yves, jeune diplomate très séduisant. Malgré le doute qui l'obsède - l'un des hommes de la plage a été tué - Véronique se sent envahie par un irrépressible amour pour Jacques-Yves alors que celui-ci ne lui témoigne qu'une aimable indifférence. Pire encore !… Véronique découvre son attachement pour une jolie femme, Simone, dont le mari est un inquiétant personnage. La seule victoire en amour est-elle la fuite ? Véronique essaye de s'y résoudre, sans le moindre succès car le destin s'obstine à la remettre en présence de Jacques-Yves. Il semble maintenant s'acharner à vouloir la troubler. Un jeu bien dangereux. Pour lui aussi, peut-être ?

N° 3155 - Le très honorable agent secret d'après le roman de C.C. Bergius

3,75 €
Extrait : L'air était humide et lourd lorsque Lee Kon-Kim arriva dans la ville du Bélier, à la mi-juin 1924. Le climat tropical de Canton le faisait suer à grosses gouttes bien que sa voiture fût découverte et que le vent le fouettât sans cesse. La chaleur étouffante des rues et leur odeur pénétrante rendaient pénible la respiration. Le jeune homme se réjouissait de retrouver sa mère…

N° 1899 - Jamais l'amour n'a su compter (Francine Robert)

2,92 €
Extrait  : — Je suis certain, en tout cas, de faire un très mauvais chef d'entreprise, un industriel exécrable ! — A ton âge, mon petit Roland, on n'est certain de rien, permets-moi de te le dire ! Et les deux interlocuteurs s'étaient dressés de chaque côté du bureau ministre qui les séparait. Un petit panneau de plexiglas posé sur la surface polie du meuble apprenait, dès leur entrée, aux visiteurs, qu'ils se trouvaient en face de « Lucien Vaudé, directeur général ». Pour la première fois de sa vie, cet homme d'affaires accoutumé à ne trouver devant lui que docilité, obéissance passive, se heurtait à une volonté qui valait peut-être la sienne : celle de son fils unique, Roland. Ce dernier venait d'avoir vingt-deux ans et on employait habituellement, pour le décrire, trois adjectifs que venait renforcer le mot « très » : « …Très grand, très brun, très sympathique… »…
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