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  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: C.C. Bergius
  • Auteurs: Nancy Warren
Gentleman lover - Nancy Warren - Harlequin Sexy N° 34
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Sexy N° 34 - Gentleman lover (Nancy Warren)

3,45 €
Des bijoux de luxe. Un ravisseur bien trop sexy. Et un désir fulgurant. Kidnappée par l’homme le plus sexy qui soit ? Dans ses fantasmes, oui, Lexy aurait pu rêver d’une telle scène – enlevée par un mystérieux inconnu, beau comme un dieu, qui se serait juré de lui faire atteindre le septième ciel jour et nuit –, mais dans la vraie vie ? C’est pourtant bien ce que Charles Pendegraff vient de lui faire subir, du moins pour la partie « kidnapping » : celui qu’elle prenait pour un acheteur juste un tout petit peu plus arrogant que les autres n’est en fait qu’un cambrioleur de haut vol, qui, surpris la main dans le sac alors qu’il tentait de lui dérober une émeraude de grande valeur, vient de la forcer à le suivre dans un endroit totalement isolé du monde. Quant à la partie « septième ciel », à en croire la manière dont elle sent tout son corps s’embraser dès qu’il approche un peu trop près d’elle, elle ne peut s’empêcher d’espérer qu’il mettra un point d’honneur à la lui faire subir également…

N° 3155 - Le très honorable agent secret d'après le roman de C.C. Bergius

3,75 €
Extrait : L'air était humide et lourd lorsque Lee Kon-Kim arriva dans la ville du Bélier, à la mi-juin 1924. Le climat tropical de Canton le faisait suer à grosses gouttes bien que sa voiture fût découverte et que le vent le fouettât sans cesse. La chaleur étouffante des rues et leur odeur pénétrante rendaient pénible la respiration. Le jeune homme se réjouissait de retrouver sa mère…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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