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  • Auteurs: C.C. Bergius
  • Auteurs: Ernest Richard
  • Auteurs: W.S. Foord

N° 412 - Un amour à la dérive (W.S. Foord)

3,95 €
La sympathique Stanley Baker, membre de l'équipe de sauvetage dont s'enorgueillit le petit port britannique de Haven Bay, éprouve un tendre penchant pour Marjorie Foster, la jolie institutrice. Mais la jeune fille se considère comme fiancée à Tommy Carr, habitant d'un port voisin ; il doit incessamment revenir d'Ostende pour présenter Marjorie à ses parents. Voici qu'une terrible tempête se déchaîne : le bateau qui ramène Tommy est perdu en mer. Stanley se porte aussitôt au secours des hommes en détresse : Tommy n'est point parmi les rescapés ! En revanche, y figurent Stott, un dévoyé, et sa complice, Millie, qui vont terroriser Haven Bay. Marjorie devient l'otage de Millie qui lui fait de curieuses révélations : Tommy Carr n'est pas allé à Ostende mais à Londres… A-t-il menti pour cacher une escapade sentimentale ? Accablée, prisonnière, la jeune institutrice ne peut imaginer le dénouement de la situation… !

N° 3155 - Le très honorable agent secret d'après le roman de C.C. Bergius

3,75 €
Extrait : L'air était humide et lourd lorsque Lee Kon-Kim arriva dans la ville du Bélier, à la mi-juin 1924. Le climat tropical de Canton le faisait suer à grosses gouttes bien que sa voiture fût découverte et que le vent le fouettât sans cesse. La chaleur étouffante des rues et leur odeur pénétrante rendaient pénible la respiration. Le jeune homme se réjouissait de retrouver sa mère…

N° 1188 - Puisque tu me fuis... (Ernest Richard)

3,74 €
Extrait : Dans les salons de l'Hôtel Impéria, le Comité général des Armateurs donnait, cette nuit-là, son grand bal annuel. Tout ce que le port de Rouen comptait de notabilités, haut commerce, haute industrie, armée, magistrature et arts, avait tenu à figurer dans cette assemblée extrêmement brillante. Deux jazz, secondés d'orchestres tango-rumba, alternaient à chaque coin de l'immense pièce où chatoyaient uniformes et toilettes… Au brouhaha discret des soirées de bonne compagnie, les arrivants tardifs devinaient en entrant qu'on atteignait à l'instant où, de l'apparat guindé du début, la fête passe à la gaieté aimable qui ne doit plus l'abandonner avant l'aube. On venait de distribuer les cotillons, amusant épisode qui permet au plus grave des capitaines de vaisseau ou colonels en retraite, au plus austère président de cour d'assises d'arborer sans rougir un casque de pompier à moins que ce ne soit un polo de groom !…
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