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  • Auteurs: Anne McAllister
  • Auteurs: Camille Arnold

N° 1676 - La clause secrète (Camille Arnold)

2,92 €
Extrait : Jacqueline repoussa lentement le tiroir du classeur dont le carton vert était déchiré, après y avoir rangé la traite des établissements Phalippou et Fils… Elle était lasse. Non pas lasse de trop travailler — son emploi de dactylo-facturière chez Fradet , « couverture, plomberie, sanitaire », n'était pas harassant ! — mais, au contraire, de faire un travail monotone et ennuyeux auquel elle ne parvenait pas à s'intéresser. Tandis qu'elle cherchait dans une boîte déglinguée un morceau de sparadrap pour arranger tant bien que mal le tiroir défaillant, elle regardait du coin de l'oeil, avec une sorte d'envie, le comptable, M. Plumet…

Saint-Valentin : 4 romans Coup de Coeur

2,55 €
Pari sur le bonheur (Anne Stuart) On ne peut imaginer deux personnalités plus dissemblables que Shannon Donnelly et Frederick Lockwood. Pourtant, l'étincelle jaillit entre eux. Alors qui, de Shannon pour qui n'existe que l'amour sincère et durable, ou de Frederick, qui ne jure que par le désir passionné et éphémère, va l'emporter ? Un duel entre Saint-Valentin et Eros, en somme… Tout un jour pour aimer (Judith Arnold) 14 février - 8 h 58. Alors qu'elle vient livrer ses gâteaux pour une soirée donnée par Melanie Steele au manoir de Wyatt Hall, Claudia dérape sur la chaussée verglacée à cause d'un cycliste qui en sort à toute allure. Un vrai désastre dans la voiture ! Tout est à refaire... Le fou imprudent, qui n'est aute que Ned Wyatt, le frère de Melanie, lui propose de l'aider. Bien imprudemment, Claudia accepte. L'amoureux mystérieux (Anne McAllister) Les élèvres de sa classe en sont absolument certains : Jane Kitto, l'institutrice, a besoin d'un homme dans sa vie, un vrai, pas un mystérieux admirateur qui, à chaque Saint-Valentin, lui envoie une breloque qu'elle attache à son bracelet. Jane, elle, n'est pas tout à fait d'accord avec ses petits Cupidon, surtout quand leur choix se porte sur Zach Stoner, un ancien camarade d'école. Le baiser de la Saint-Valentin (JoAnn Ross) Depuis dix ans, à chaque début d'année, Patrick Sullivan se fait le serment d'oublier son ex-femme, Valentine. En cette veille du Nouvel An, pourtant, le destin va placer Valentine et ses jumeaux — sur le point de naître — sur son chemin.

N° 1704 - Au bord de l'abîme (Camille Arnold)

3,74 €
Extrait : Gustave Herbelot reposa le vase de Sèvres dont, machinalement, il avait regardé la marque. On aurait dit qu'il faisait, sans y songer, l'inventaire de ce qu'avait laissé, en mourant, Suzanne Teyssière. De tous les bibelots qui ornaient ce salon, le plus ravissant était sans conteste Odile devant qui Gustave vint se planter, les mains aux poches : — Alors, petite ? Nous sommes d'accord ? La jeune fille leva vers lui un regard craintif : — Il le faut bien, tonton. Elle n'était pas sa nièce, mais celle de sa femme, Fernande, qui était morte deux ans plus tôt. Décidément, on ne vivait pas vieux, chez les Guitton : les deux soeurs, Fernande et Suzanne, avaient été orphelines de bonne heure. Puis Fernande était morte à trente-huit ans et voici que Suzanne venait à son tour d'être emportée en quelques jours par une angine de poitrine. Il restait à Gustave, en tout de sa belle famille, cette nièce de dix-sept ans dont il avait été désigné le tuteur…

N° 1567 - L'inutile sacrifice (Camille Arnold)

3,05 €
Extrait : Chaque fois que Madeleine entend l'ascenseur se mettre en marche les aiguilles de son tricot s'immobilisent et elle suspend presque son souffle pour tendre l'oreille. Est-ce lui, cette fois ? Non, l'arrêt se fait à un autre étage... et elle en est, à la fois, déçue et contente : déçue, parce qu'elle languit que Claude soit rentrée... et contente, parce qu'elle pourra faire encore quelques « rangs » de plus à son pull-over. Comment sera-t-il ce soir ? Ne sera-t-il pas trop fatigué par le métro et ses bousculades aux heures de « pointe », ses innombrables escaliers de correspondance ? Ne sera-t-il pas trop énervé par les leçons données à des aspirantes-pianistes qui n'ont pas la moindre disposition pour la musique mais qui, avant de savoir faire une gamme, sont impatientes de pouvoir jouer Tristesse de Chopin à leur première réception ? Ne sera-t-il pas trop démoralisé par une entrevue avec quelque directeur de théâtre ou quelque éditeur qui, après lui avoir prodigué de grandes louanges pour ses oeuvres, se sera répandu en soupirs pour se plaindre de la crise, des frais chaque jour plus lourds qui l'obligent à « ne miser que sur des noms connus du public »…
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