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  • Auteurs: Camille Arnold
  • Auteurs: Carol Ericson

N° 157 - Mariée par convenance (Carol Ericson) - L'emprise du soupçon (Kathleen Long)

4,05 €
Mariée par convenance (Carol Ericson) Mariée à un inconnu… Callie n'a pas eu le choix : sauf à faire une croix sur l'héritage de son grand-père, et à laisser ainsi son père se débrouiller seul avec ses dettes face aux dangereux criminels qui le menacent, il fallait qu'elle soit mariée au plus vite. Et puisque Rod McClintock, rencontré par hasard, acceptait de devenir son époux… Mais, à présent, elle se sent à la fois coupable et impuissante : car non seulement elle se rend compte que Rod est bien trop troublant pour le rôle, mais aussi parce que les criminels qui poursuivaient son père n'ont pas renoncé, la menacent aussi et qu'elle ne peut plus faire autrement que d'entraîner Rod avec elle dans le danger… L'emprise du soupçon (Kathleen Long) Chargée d'enquêter sur TMC, une société soupçonnée de fraude fiscale, l'inspecteur Sara Montgomery est aux anges : elle tient là l'affaire de sa carrière. Et se glisser dans la peau d'une séductrice ne lui fait certainement pas peur. Si, pour découvrir la vérité, elle doit flirter avec Kyle Prescott, le directeur financier de TMC, qu'à cela ne tienne ! Pourtant, très vite, elle sent sa vaillante assurance vaciller. Selon toute apparence, Kyle n'est qu'un séducteur, un macho et un ambitieux. Alors pourquoi une part d'elle veut-elle croire à l'honnêteté de cet homme ? Son intuition se conforte en conviction quand ils sont tous deux agressés. Cherche-ton à les faire taire ? Ou - pire à éliminer Kyle -, pour le réduire au silence ?

N° 1676 - La clause secrète (Camille Arnold)

2,92 €
Extrait : Jacqueline repoussa lentement le tiroir du classeur dont le carton vert était déchiré, après y avoir rangé la traite des établissements Phalippou et Fils… Elle était lasse. Non pas lasse de trop travailler — son emploi de dactylo-facturière chez Fradet , « couverture, plomberie, sanitaire », n'était pas harassant ! — mais, au contraire, de faire un travail monotone et ennuyeux auquel elle ne parvenait pas à s'intéresser. Tandis qu'elle cherchait dans une boîte déglinguée un morceau de sparadrap pour arranger tant bien que mal le tiroir défaillant, elle regardait du coin de l'oeil, avec une sorte d'envie, le comptable, M. Plumet…

N° 1704 - Au bord de l'abîme (Camille Arnold)

3,74 €
Extrait : Gustave Herbelot reposa le vase de Sèvres dont, machinalement, il avait regardé la marque. On aurait dit qu'il faisait, sans y songer, l'inventaire de ce qu'avait laissé, en mourant, Suzanne Teyssière. De tous les bibelots qui ornaient ce salon, le plus ravissant était sans conteste Odile devant qui Gustave vint se planter, les mains aux poches : — Alors, petite ? Nous sommes d'accord ? La jeune fille leva vers lui un regard craintif : — Il le faut bien, tonton. Elle n'était pas sa nièce, mais celle de sa femme, Fernande, qui était morte deux ans plus tôt. Décidément, on ne vivait pas vieux, chez les Guitton : les deux soeurs, Fernande et Suzanne, avaient été orphelines de bonne heure. Puis Fernande était morte à trente-huit ans et voici que Suzanne venait à son tour d'être emportée en quelques jours par une angine de poitrine. Il restait à Gustave, en tout de sa belle famille, cette nièce de dix-sept ans dont il avait été désigné le tuteur…

N° 1567 - L'inutile sacrifice (Camille Arnold)

3,05 €
Extrait : Chaque fois que Madeleine entend l'ascenseur se mettre en marche les aiguilles de son tricot s'immobilisent et elle suspend presque son souffle pour tendre l'oreille. Est-ce lui, cette fois ? Non, l'arrêt se fait à un autre étage... et elle en est, à la fois, déçue et contente : déçue, parce qu'elle languit que Claude soit rentrée... et contente, parce qu'elle pourra faire encore quelques « rangs » de plus à son pull-over. Comment sera-t-il ce soir ? Ne sera-t-il pas trop fatigué par le métro et ses bousculades aux heures de « pointe », ses innombrables escaliers de correspondance ? Ne sera-t-il pas trop énervé par les leçons données à des aspirantes-pianistes qui n'ont pas la moindre disposition pour la musique mais qui, avant de savoir faire une gamme, sont impatientes de pouvoir jouer Tristesse de Chopin à leur première réception ? Ne sera-t-il pas trop démoralisé par une entrevue avec quelque directeur de théâtre ou quelque éditeur qui, après lui avoir prodigué de grandes louanges pour ses oeuvres, se sera répandu en soupirs pour se plaindre de la crise, des frais chaque jour plus lourds qui l'obligent à « ne miser que sur des noms connus du public »…
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