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Il y a 6 produits.

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  • Auteurs: Camille Arnold
  • Auteurs: Carole Buck

N° 1676 - La clause secrète (Camille Arnold)

2,92 €
Extrait : Jacqueline repoussa lentement le tiroir du classeur dont le carton vert était déchiré, après y avoir rangé la traite des établissements Phalippou et Fils… Elle était lasse. Non pas lasse de trop travailler — son emploi de dactylo-facturière chez Fradet , « couverture, plomberie, sanitaire », n'était pas harassant ! — mais, au contraire, de faire un travail monotone et ennuyeux auquel elle ne parvenait pas à s'intéresser. Tandis qu'elle cherchait dans une boîte déglinguée un morceau de sparadrap pour arranger tant bien que mal le tiroir défaillant, elle regardait du coin de l'oeil, avec une sorte d'envie, le comptable, M. Plumet…

N° 476 - Doug et Amy (Carole Buck)

2,95 €
Amy… Pour Doug, ce nom évoque un amour fait pour durer toujours. Hélas, tendre fiancée de l'enfance et de l'adolescence, puis épouse passionnée, Amy s'est pourtant éloignée, prise dans le tourbillon d'un métier exigeant qui a peu à peu brisé un lien précieux. Doug a laissé faire, s'est effacé… Mais aujourd'hui, il veut se battre. Comment, cependant, retrouver celle qui malgré le divorce n'a jamais cessé d'être « sa femme » ? Comment passer au doigt de Amy un nouvel anneau, symbole cette fois d'une indestructible union, pour que plus jamais il ne soit question de Amy sans Doug, de Doug sans Amy ?

N° 441 - Mais qui êtes-vous, Nick O'Neill ? (Carole Buck)

2,95 €
Catastrophe ! La mère de la sage et jolie Hayley veut absolument rencontrer « Michael Becker », le fiancé de sa fille. — Oui, mais voilà, Michael Becker n'existe pas, avoue la jeune femme, désemparée, à son très séduisant collègue Nick O'Neill. Qu'à cela ne tienne ! Nick propose de se couler dans le rôle du fiancé imaginaire. À ce jeu-là, cependant, le couple d'opérette ne risque-t-il pas d'être délicieusement pris à son propre piège tandis que les faux dîners en amoureux menacent de devenir de vraies nuits passionnées…

N° 411 - Un paradis insoupçonné (Carole Buck)

2,56 €
Une semaine suspendue dans le temps, sur une île des Caraïbes… Une jeune femme merveilleuse, portant un nom étrange, Dawn… Constamment, il revoit ses longs cheveux mordorés où elle a glissé une orchidée, ses yeux profonds, leurs doigts entrelacés… Jamais il n'oubliera ces moments uniques, flamboyants, de ceux que l'on cherche toujours, inlassablement. Il sait qu'un jour, il la retrouvera, et apprendra les véritables circonstances de sa dispatition. Six ans et demi plus tard… Alexander Moran entre dans la salle de conférences où l'attend l'équipe de Carradine et Associés Et soudain, il se fige. Dawn… Dans ses rêveries sans fin, Alex croyait avoir envisagé toutes les variations possibles sur le thème de leurs retrouvailles. Mais c'est une partition inattendue qui semble près de se jouer…

N° 1704 - Au bord de l'abîme (Camille Arnold)

3,74 €
Extrait : Gustave Herbelot reposa le vase de Sèvres dont, machinalement, il avait regardé la marque. On aurait dit qu'il faisait, sans y songer, l'inventaire de ce qu'avait laissé, en mourant, Suzanne Teyssière. De tous les bibelots qui ornaient ce salon, le plus ravissant était sans conteste Odile devant qui Gustave vint se planter, les mains aux poches : — Alors, petite ? Nous sommes d'accord ? La jeune fille leva vers lui un regard craintif : — Il le faut bien, tonton. Elle n'était pas sa nièce, mais celle de sa femme, Fernande, qui était morte deux ans plus tôt. Décidément, on ne vivait pas vieux, chez les Guitton : les deux soeurs, Fernande et Suzanne, avaient été orphelines de bonne heure. Puis Fernande était morte à trente-huit ans et voici que Suzanne venait à son tour d'être emportée en quelques jours par une angine de poitrine. Il restait à Gustave, en tout de sa belle famille, cette nièce de dix-sept ans dont il avait été désigné le tuteur…

N° 1567 - L'inutile sacrifice (Camille Arnold)

3,05 €
Extrait : Chaque fois que Madeleine entend l'ascenseur se mettre en marche les aiguilles de son tricot s'immobilisent et elle suspend presque son souffle pour tendre l'oreille. Est-ce lui, cette fois ? Non, l'arrêt se fait à un autre étage... et elle en est, à la fois, déçue et contente : déçue, parce qu'elle languit que Claude soit rentrée... et contente, parce qu'elle pourra faire encore quelques « rangs » de plus à son pull-over. Comment sera-t-il ce soir ? Ne sera-t-il pas trop fatigué par le métro et ses bousculades aux heures de « pointe », ses innombrables escaliers de correspondance ? Ne sera-t-il pas trop énervé par les leçons données à des aspirantes-pianistes qui n'ont pas la moindre disposition pour la musique mais qui, avant de savoir faire une gamme, sont impatientes de pouvoir jouer Tristesse de Chopin à leur première réception ? Ne sera-t-il pas trop démoralisé par une entrevue avec quelque directeur de théâtre ou quelque éditeur qui, après lui avoir prodigué de grandes louanges pour ses oeuvres, se sera répandu en soupirs pour se plaindre de la crise, des frais chaque jour plus lourds qui l'obligent à « ne miser que sur des noms connus du public »…
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