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  • Auteurs: Camille Arnold
  • Auteurs: Karen Rose Smith

N° 256 - Un troublant tête-à-tête (Karen Rose Smith) - Une nuit entre tes bras (Sandra Hyatt)

3,95 €
Un troublant tête-à-tête (Karen Rose Smith) Deuxième volet de la Saga des Foley et des McCord Servir de garde du corps à Gabriella McCord ? Rafe Balthazar n'aurait pu imaginer mission plus difficile et surtout plus désagréable. Comment va-t-il faire en effet pour supporter, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, cette richissime héritière à la redoutable réputation ? Car il est de notoriété publique que la belle Gabriella est aussi capricieuse qu'incontrôlable... Une nuit entre tes bras (Sandra Hyatt) Alors qu'elle assiste au mariage de son meilleur ami, Callie succombe au charme d'un inconnu au regard de braise, et passe la nuit en sa compagnie. Pourquoi n'aurait-elle pas le droit, pour une fois, de faire preuve d'un peu d'audace et de céder à ses désirs ? Pourtant, elle ne tarde pas à se rendre compte que ce moment d'égarement, aussi magique fût-il, était en réalité une terrible erreur. Car son mystérieux amant d'une nuit, qu'elle imaginait ne jamais revoir, n'est autre que Nick Brunicadi, son principal concurrent en affaires...

N° 1676 - La clause secrète (Camille Arnold)

2,92 €
Extrait : Jacqueline repoussa lentement le tiroir du classeur dont le carton vert était déchiré, après y avoir rangé la traite des établissements Phalippou et Fils… Elle était lasse. Non pas lasse de trop travailler — son emploi de dactylo-facturière chez Fradet , « couverture, plomberie, sanitaire », n'était pas harassant ! — mais, au contraire, de faire un travail monotone et ennuyeux auquel elle ne parvenait pas à s'intéresser. Tandis qu'elle cherchait dans une boîte déglinguée un morceau de sparadrap pour arranger tant bien que mal le tiroir défaillant, elle regardait du coin de l'oeil, avec une sorte d'envie, le comptable, M. Plumet…

N° 1752 - Le bonheur au rendez-vous (Karen Rose Smith)

2,56 €
Commencer sa nouvelle vie n'était pas simple et pourtant, au moment de se présenter chez Cooper Murphy, le père de la fillette qui serait désormais son élève, Meredith ne regrettait rien. Après son douloureux divorce en effet, au lieu de continuer à mener l'existence dorée que lui autorisait sa fortune personnelle, elle avait décidé de reprendre les études d'institutrice que son ex-mari l'avait contrainte d'abandonner — pour se prouver qu'elle était capable de mener à bien un projet personnel mais aussi dans l'espoir que le contact avec les enfants atténuerait sa douleur de ne pouvoir devenir mère. Maintenant, songea-t-elle avec une pointe d'angoisse, il restait à souhaiter que Cooper Murphy, qui lui avait fait confiance sans rien savoir de son passé, ne se montrerait pas trop curieux à son égard...

N° 1704 - Au bord de l'abîme (Camille Arnold)

3,74 €
Extrait : Gustave Herbelot reposa le vase de Sèvres dont, machinalement, il avait regardé la marque. On aurait dit qu'il faisait, sans y songer, l'inventaire de ce qu'avait laissé, en mourant, Suzanne Teyssière. De tous les bibelots qui ornaient ce salon, le plus ravissant était sans conteste Odile devant qui Gustave vint se planter, les mains aux poches : — Alors, petite ? Nous sommes d'accord ? La jeune fille leva vers lui un regard craintif : — Il le faut bien, tonton. Elle n'était pas sa nièce, mais celle de sa femme, Fernande, qui était morte deux ans plus tôt. Décidément, on ne vivait pas vieux, chez les Guitton : les deux soeurs, Fernande et Suzanne, avaient été orphelines de bonne heure. Puis Fernande était morte à trente-huit ans et voici que Suzanne venait à son tour d'être emportée en quelques jours par une angine de poitrine. Il restait à Gustave, en tout de sa belle famille, cette nièce de dix-sept ans dont il avait été désigné le tuteur…

N° 1567 - L'inutile sacrifice (Camille Arnold)

3,05 €
Extrait : Chaque fois que Madeleine entend l'ascenseur se mettre en marche les aiguilles de son tricot s'immobilisent et elle suspend presque son souffle pour tendre l'oreille. Est-ce lui, cette fois ? Non, l'arrêt se fait à un autre étage... et elle en est, à la fois, déçue et contente : déçue, parce qu'elle languit que Claude soit rentrée... et contente, parce qu'elle pourra faire encore quelques « rangs » de plus à son pull-over. Comment sera-t-il ce soir ? Ne sera-t-il pas trop fatigué par le métro et ses bousculades aux heures de « pointe », ses innombrables escaliers de correspondance ? Ne sera-t-il pas trop énervé par les leçons données à des aspirantes-pianistes qui n'ont pas la moindre disposition pour la musique mais qui, avant de savoir faire une gamme, sont impatientes de pouvoir jouer Tristesse de Chopin à leur première réception ? Ne sera-t-il pas trop démoralisé par une entrevue avec quelque directeur de théâtre ou quelque éditeur qui, après lui avoir prodigué de grandes louanges pour ses oeuvres, se sera répandu en soupirs pour se plaindre de la crise, des frais chaque jour plus lourds qui l'obligent à « ne miser que sur des noms connus du public »…
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