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Il y a 4 produits.

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  • Auteurs: Camille Arnold
  • Auteurs: Lisa Renee Jones

N° 1676 - La clause secrète (Camille Arnold)

2,92 €
Extrait : Jacqueline repoussa lentement le tiroir du classeur dont le carton vert était déchiré, après y avoir rangé la traite des établissements Phalippou et Fils… Elle était lasse. Non pas lasse de trop travailler — son emploi de dactylo-facturière chez Fradet , « couverture, plomberie, sanitaire », n'était pas harassant ! — mais, au contraire, de faire un travail monotone et ennuyeux auquel elle ne parvenait pas à s'intéresser. Tandis qu'elle cherchait dans une boîte déglinguée un morceau de sparadrap pour arranger tant bien que mal le tiroir défaillant, elle regardait du coin de l'oeil, avec une sorte d'envie, le comptable, M. Plumet…

N° 457 - Passion à fleur de peau (Lisa Renee Jones) - Des souvenirs très sexy… (Leslie Kelly)

3,65 €
Passion à fleur de peau (Lisa Renee Jones) Travailler avec Blake Nelson, l’homme qui a failli ruiner sa carrière de présentatrice en diffusant les images volées de leur première rencontre ? Pour Darla, c’est tout simplement inenvisageable. Bien sûr, participer à l’émission à succès « Pas de deux » serait une chance incroyable pour sa carrière – et le seul moyen d’aider financièrement ses parents qui en ont tant besoin ‒, mais peut-elle faire confiance à cet homme qui l’a déjà trahie une fois ? Pire, peut-elle se faire confiance alors qu’il lui suffit de croiser le regard brûlant de Blake Nelson, d’imaginer la douceur de sa peau sous son T-shirt, pour savoir qu’il peut à tout moment lui faire de nouveau perdre la raison… Des souvenirs très sexy… (Leslie Kelly) A peine Candace a-t-elle posé les yeux sur Oliver McKean, l’homme engagé par son grand-père pour veiller sur le domaine familial, qu’elle sent la brûlure du désir sur sa peau. Bien sûr, elle n’oublie pas qu’elle a accepté, pour aider son meilleur ami, de faire avec ce dernier un mariage de convenance. Et, par conséquent, de se conduire en épouse respectable et fidèle. Mais, pourquoi ne pas profiter, en secret, de ses derniers jours de liberté pour faire le plein de souvenirs très sexy ? Avec son regard de braise, sa silhouette athlétique et son sourire à se damner, Oliver McKean ferait un dernier amant parfait. Et, puisqu’ils ont si peu de temps, Candace compte bien profiter – pleinement – de tout ce qu’Oliver McKean a à offrir…

N° 1704 - Au bord de l'abîme (Camille Arnold)

3,74 €
Extrait : Gustave Herbelot reposa le vase de Sèvres dont, machinalement, il avait regardé la marque. On aurait dit qu'il faisait, sans y songer, l'inventaire de ce qu'avait laissé, en mourant, Suzanne Teyssière. De tous les bibelots qui ornaient ce salon, le plus ravissant était sans conteste Odile devant qui Gustave vint se planter, les mains aux poches : — Alors, petite ? Nous sommes d'accord ? La jeune fille leva vers lui un regard craintif : — Il le faut bien, tonton. Elle n'était pas sa nièce, mais celle de sa femme, Fernande, qui était morte deux ans plus tôt. Décidément, on ne vivait pas vieux, chez les Guitton : les deux soeurs, Fernande et Suzanne, avaient été orphelines de bonne heure. Puis Fernande était morte à trente-huit ans et voici que Suzanne venait à son tour d'être emportée en quelques jours par une angine de poitrine. Il restait à Gustave, en tout de sa belle famille, cette nièce de dix-sept ans dont il avait été désigné le tuteur…

N° 1567 - L'inutile sacrifice (Camille Arnold)

3,05 €
Extrait : Chaque fois que Madeleine entend l'ascenseur se mettre en marche les aiguilles de son tricot s'immobilisent et elle suspend presque son souffle pour tendre l'oreille. Est-ce lui, cette fois ? Non, l'arrêt se fait à un autre étage... et elle en est, à la fois, déçue et contente : déçue, parce qu'elle languit que Claude soit rentrée... et contente, parce qu'elle pourra faire encore quelques « rangs » de plus à son pull-over. Comment sera-t-il ce soir ? Ne sera-t-il pas trop fatigué par le métro et ses bousculades aux heures de « pointe », ses innombrables escaliers de correspondance ? Ne sera-t-il pas trop énervé par les leçons données à des aspirantes-pianistes qui n'ont pas la moindre disposition pour la musique mais qui, avant de savoir faire une gamme, sont impatientes de pouvoir jouer Tristesse de Chopin à leur première réception ? Ne sera-t-il pas trop démoralisé par une entrevue avec quelque directeur de théâtre ou quelque éditeur qui, après lui avoir prodigué de grandes louanges pour ses oeuvres, se sera répandu en soupirs pour se plaindre de la crise, des frais chaque jour plus lourds qui l'obligent à « ne miser que sur des noms connus du public »…
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