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  • Auteurs: Candace Schuler
  • Auteurs: Jean Vignaud
  • Auteurs: William Irish
Un inconnu derrière la vitre - Candace Schuler - Harlequin Rouge passion N° 304
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N° 304 - Un inconnu derrière la vitre (Candace Schuler)

2,56 €
— Grant ! Oh, Grant ! Je vous en supplie ! dit-elle frémissante. — Que voulez-vous dire, ma douce ? Est-ce trop ? Ou pas assez ? murmura-t-il, sans cesser de la caresser. Ses yeux à l'expression habituellement insouciante étaient devenus presque noirs sous l'effet du désir. Naturellement, c'était trop, même si elle pressentait déjà qu'avec cet homme ce ne serait jamais assez. Oui, beaucoup trop. Trop dangereux, trop bouleversant… — Oh, oui ! soupira-t-elle, répondant en quelque sorte aux deux questions.

N° 3313 - Une douce odeur de jasmin (Jeanne Stephens) - Un cadavre au tombeau (William Irish)

4,50 €
Encarts Lecture BS 3313 à détacher Une douce odeur de jasmin  d'après le roman de Jeanne Stephens St. Augustine, au mois de mai, est ravissant. Carol Adamson, goûte d'autant plus les charmes de cette station balnéaire de Floride qu'elle est là pour travailler. Elle doit illustrer un livre de son cher ami Lloyd, écrivain de renom. Un jour, sur la plage, une fillette l'interpelle. Amanda est seule. Rosa, la Mexicaine la surveille à quelques pas. La petite fille lui parle de son père, trop occupé par ses affaires pour se soucier d'elle. Le désarroi d'Amanda serre le coeur de Carol. Chaque matin, pendant une semaine, elle se rend sur la plage et passe une demi-heure à jouer avec Amanda, sous l'oeil neutre de la Mexicaine. Un jour enfin Amanda invite son amie à venir dîner sur le bateau de son père, Dan Darcy. La stupéfaction est grande quand Carol reconnaît en Darcy l'inconnu qui l'a littéralement chassée, quelque temps auparavant, d'une plage où elle faisait des croquis… Un cadavre au tombeau  d'après une nouvelle policière de William Irish Extrait : Howie m'attendait à la gare avec cet air mi-figue mi-raisin qu'ont les jeunes neveux lorsqu'une vieille fille de tante leur arrive de sa province. Moi, j'espérais bien qu'on se serait manqués, mais j'ai joué de malchance. Je n'étais pas venue à New York depuis 1927, et il y avait quelques fantaisies que j'aurais voulu me payer. Oh ! rien de bien scandaleux…

La maison du maltais (Jean Vignaud) - Collection Gründ illustrée N° 16

4,50 €
Extrait : Chapitre VII Le matin jeta dans la rue un autre Matteo, un Matteo impatient, qui, dans sa hâte de se mettre au travail, bouscula sans le reconnaître le fumigateur dont l'encens parfumé de benjoin distribue, pour la semaine, du bonheur dans chaque maison. Franchie la Porte de la mer, il enleva ses sandales pour courir plus vite vers le quai aux phosphates. Il avait suffi d'une nuit d'amour pour opérer ce miracle. Jamais Matteo n'avait connu semblables délices ; certains mots l'exaltaient encore comme si Safia eût été présente. Lui, pauvre portefaix, avait été salué par cette beauté des îles comme un prophète « Ia Robbi, Ia Allah, ô mon maître, ô mon Dieu ! » Safia entre ses bras avait soupiré ces paroles, le corps palpitant comme celui d'un pigeon qu'on étouffe. Et c'est pour réentendre ces mots, ces soupirs, qu'il lui fallait de l'argent. Il voulait, tout comme les notables qui cachaient des fortunes derrière leurs haies de tabias, dans la banlieue sfaxienne, pouvoir parer sa maîtresse, l'étourdir de cadeaux. Fini, désormais, le temps où Matteo musait d'une barque à l'autre, criblant de ses quolibets Maltais et Siciliens ; finies, les flâneries chez Gordina, les siestes sur le sable chaud du chenal. Tout cela était le passé, un cadavre que Safia avait piétiné de ses petits talons marqués de henné…

N° 341 - Sauvageonne ou femme du monde (Candace Schuler)

2,15 €
— Le ranch ou Paris ? Que choisis-tu ? insista-t-il, impénétrable. Elle hésita, le coeur battant. N'y avait-il aucune échappatoire ? Choisir Paris, c'était assurément perdre Ben, et c'était lui qu'elle voulait. Mais comment oublier son amour-propre et accepter de lui céder ? — Je veux le ranch, dit-elle soudain d'une voix étonnamment ferme. — Même si, pour cela, tu dois consentir à m'épouser ? — Je veux le ranch ! répéta-t-elle avec mépris, trop secrète et trop fière pour lui avouer qu'elle l'aimait.

N° 304 - Un inconnu derrière la vitre (Candace Schuler)

2,15 €
— Grant ! Oh, Grant ! Je vous en supplie ! dit-elle frémissante. — Que voulez-vous dire, ma douce ? Est-ce trop ? Ou pas assez ? murmura-t-il, sans cesser de la caresser. Ses yeux à l'expression habituellement insouciante étaient devenus presque noirs sous l'effet du désir. Naturellement, c'était trop, même si elle pressentait déjà qu'avec cet homme ce ne serait jamais assez. Oui, beaucoup trop. Trop dangereux, trop bouleversant… — Oh, oui ! soupira-t-elle, répondant en quelque sorte aux deux questions.
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