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  • Auteurs: C. Fongrave
  • Auteurs: Captain W.E. Johns

N° 1031 - Ce que femme veut ! (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Elle lui tenait les deux mains et le considérait avec tendresse : — Voyons, Pierre, du courage ! Père changera peut-être d'idée. Actuellement il semble buté et il serait dangereux de le harceler. Le jeune homme sourit avec amertume : — Si tu m'aimais autant que je t'aime, tu ne me conseillerais pas aussi aisément la patience. Des larmes brillèrent au bord de ses longs cils dorés et elle serra plus fort les mains de l'aimée : — Ne dis pas cela, tu me déchires le coeur. Je ne te conseille pas la patience, mais la sagesse. Père tient absolument à ce que son gendre soit riche ; il ne veut pas, prétend-il, que je connaisse la médiocrité dans laquelle il a vécu toute sa vie. Tu sais que cette pauvreté auprès de toi ne m'effrayerait pas, mais il affirme que j'ignore tout de l'existence. Nous en sommes là. Evidemment, c'est triste, mais comment passer outre sans causer un mortel chagrin à mon pauvre papa…

N° 426 - Biggles et le masque noir (Captain W.E. Johns)

5,50 €
Biggles, de Scotland Yard, apprend que Canson, excellent pilote qu'il a connu dans la R.A.F. et qui avait commis quelques indélicatesses, a monté une curieuse affaire privée : il transporte des touristes de Londres à Nice pour le compte d'une agence de voyages. Connaissant le personnage et son appétit de luxe, Biggles trouve cette activité peu rémunératrice. N'y aurait-il pas anguille sous roche ? Et cette supposition va entraîner Biggles et ses deux assistants dans une étrange et dangereuse aventure, à la rencontre du Masque Noir. Biggles et le Masque Noir est le premier titre repris dans cette fameuse série des BIGGLES qui a remporté précédemment un si vif succès et qui va être rééditée dans la collection Spirale.

N° 922 - L'épreuve sentimentale (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Les deux jeunes gens se serrèrent la main cordialement et Jean s'éloigna à grands pas, se dirigeant vers le château. A une courte distance, il ralentit et balbutia, se parlant à lui-même : — Pauvre Roger !… Je comprends sa pensée, quoiqu'il la taise avec soin… Mais je n'y puis rien… Pierrette m'aime… et moi je l'adore, le hasard a tout fait. Il leva la tête et aperçut le château, tout près, qui formait une tache grise au milieu de la verdure. Son regard se tourna machinalement vers une des fenêtres du rez-de-chaussée et un sourire détendit ses traits. Aussitôt, il marcha plus vite et escalada le perron. Comme il franchissait le seuil, une voix rieuse s'écria : — Comme ru es resté longtemps, vagabond !…
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