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  • Auteurs: Captain W.E. Johns
  • Auteurs: Fran Earley
  • Auteurs: Félix Léonnec

L'homme du Rio Grande (Fran Earley)

2,95 €
Le premier contact de Tally avec Raul Devlin avait eu lieu au cours d'une nuit glaciale de la mi-décembre. Postée sur la rive nord du Rio Grande, l'oeil rivé à l'objectif de sa lunette à infrarouge, la jeune femme s'était alors contentée de suivre des yeux l'homme qu'elle devait surveiller. Comme tous les autres officiers de la patrouille frontalière, elle avait reçu sur Devlin un rapport qui, s'il était succinct, n'avait rien d'engageant : on le présentait comme un individu dangereux et désespéré. Qu'avait-il fait, ou que s'apprêtait-il à faire, qui le rendît si intéressant ? Etait-ce un criminel international ? Un espion ? Un terroriste ? Autant de questions qui allaient trouver les plus surprenantes réponses lors de la seconde rencontre de Tally avec l'inquiétant M. Devlin…

N° 426 - Biggles et le masque noir (Captain W.E. Johns)

5,50 €
Biggles, de Scotland Yard, apprend que Canson, excellent pilote qu'il a connu dans la R.A.F. et qui avait commis quelques indélicatesses, a monté une curieuse affaire privée : il transporte des touristes de Londres à Nice pour le compte d'une agence de voyages. Connaissant le personnage et son appétit de luxe, Biggles trouve cette activité peu rémunératrice. N'y aurait-il pas anguille sous roche ? Et cette supposition va entraîner Biggles et ses deux assistants dans une étrange et dangereuse aventure, à la rencontre du Masque Noir. Biggles et le Masque Noir est le premier titre repris dans cette fameuse série des BIGGLES qui a remporté précédemment un si vif succès et qui va être rééditée dans la collection Spirale.

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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