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  • Auteurs: Captain W.E. Johns
  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Mei Boyington

Monstre Loup et Maître Miam (Mei Boyington)

7,20 €
Tous les animaux ont déserté la forêt, lassés de servir de pitance au loup affamé. Miam le lapin croyait trouver la tranquillité, mais les animaux sont trop nombreux et obligés de vivre les uns sur les autres dans des terriers toujours plus petits. Et que dire de la nourriture, jamais variée, toujours dégoûtante. Miam, qui est un fin gourmet, craque et vole une carotte sur un étal. Le marchand est furieux. Le lapin est obligé de fuir… dans la forêt où le loup, presque mort de faim, est ravi de le retrouver. Quoique… Miam sent vraiment très très mauvais. Mais cela suffira-t-il pour décourager le loup et éviter de finir en civet ? Source : Editions ALICE Jeunesse

N° 426 - Biggles et le masque noir (Captain W.E. Johns)

5,50 €
Biggles, de Scotland Yard, apprend que Canson, excellent pilote qu'il a connu dans la R.A.F. et qui avait commis quelques indélicatesses, a monté une curieuse affaire privée : il transporte des touristes de Londres à Nice pour le compte d'une agence de voyages. Connaissant le personnage et son appétit de luxe, Biggles trouve cette activité peu rémunératrice. N'y aurait-il pas anguille sous roche ? Et cette supposition va entraîner Biggles et ses deux assistants dans une étrange et dangereuse aventure, à la rencontre du Masque Noir. Biggles et le Masque Noir est le premier titre repris dans cette fameuse série des BIGGLES qui a remporté précédemment un si vif succès et qui va être rééditée dans la collection Spirale.

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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