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  • Auteurs: Captain W.E. Johns
  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Pierre Bourgeat

Bachir et les sept épreuves (Pierre Bourgeat) - Castor Poche N° 85

2,74 €
Bachir est un jeune Kabyle espiègle et futé. Il ne manque pas d'idées pour répondre aux railleries des femmes du village. Mais il est loin d'avoir toujours le dernier mot… Un jour, pour échapper aux femmes de la maison, Bachir va garder les chèvres de son père sur les hauts plateaux. « Enfin un peu de calme ! » pense-t-il. Mais voilà que ses sept chèvres disparaissent. Un Djinn les a confisquées et lui impose sept épreuves. A chaque épreuve réussie, Bachir regagnera une chèvre. C'est le moment pour lui d'utiliser son esprit inventif. Qui sera le plus malin ? Le Djinn ou Bachir ?

N° 426 - Biggles et le masque noir (Captain W.E. Johns)

5,50 €
Biggles, de Scotland Yard, apprend que Canson, excellent pilote qu'il a connu dans la R.A.F. et qui avait commis quelques indélicatesses, a monté une curieuse affaire privée : il transporte des touristes de Londres à Nice pour le compte d'une agence de voyages. Connaissant le personnage et son appétit de luxe, Biggles trouve cette activité peu rémunératrice. N'y aurait-il pas anguille sous roche ? Et cette supposition va entraîner Biggles et ses deux assistants dans une étrange et dangereuse aventure, à la rencontre du Masque Noir. Biggles et le Masque Noir est le premier titre repris dans cette fameuse série des BIGGLES qui a remporté précédemment un si vif succès et qui va être rééditée dans la collection Spirale.

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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