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  • Auteurs: Cara Summers
  • Auteurs: E. de Riche
  • Auteurs: Lynda Curnyn

N° 3 - Confessions d'une ex (Lynda Curnyn)

2,95 €
Je vais vous faire un aveu : à 31 ans, j'ai le chic pour tomber sur des types auxquels le mot « engagement » donne des boutons… Tony, mon ex-petit ami, est un excellent spécimen du genre. Après deux ans de vie commune, il a en effet préféré retrouver sa liberté, pile au moment où je faisais des rêves d'avenir avec lui. Il ne faut pas croire que les choses s'arrangent après la rupture. Surtout quand on travaille pour un magazine spécialisé dans l'organisation de — devinez quoi ? — mariages ! Si, une déveine pareille, c'est possible… Et à ce stade du problème, le mieux pour moi est de tirer un trait sur mon passé, et de me répéter tous les jours que l'homme idéal ne m'a tout simplement pas encore remarquée…

N° 1333 - Captive d'un mensonge (Cara Summers)

2,15 €
A vingt-cinq ans, Lily aimerait bien que son père la prenne enfin au sérieux. Il y aurait bien une solution pour le convaincre qu’elle possède les qualités nécessaires pour devenir son associée : accepter – et surtout réussir ! — la mission délicate qu’il lui propose, en faisant croire à Tony Romano, le propriétaire d’un hôtel à Manhattan, qu’elle peut l’aider à trouver le financement dont il a besoin. Un pur mensonge, car en réalité, elle doit réunir des informations susceptibles de le contraindre à vendre son hôtel à son père !  Lily n’a pas le choix : si elle veut montrer qu’elle a l’étoffe d’une dirigeante d’entreprise, elle mentira à Tony. Mais ce qu’elle n’a pas prévu, c’est d’avoir à résister à l’attraction immédiate qu’elle ressent pour celui qu’elle est venue espionner…

N° 935 - Pour gagner son coeur (E. de Riche)

3,05 €
Extrait : Une auto, conduite intérieure, franchit la porte des usines Martigny-Milchamp, à Suresnes, s'arrêta dans la cour, à côté du perron accédant aux bureaux de la direction et de l'administration. Un homme jeune, très élégant, vêtu d'un costume de sport de la meilleure coupe qui faisait valoir la sveltesse de sa taille, sauta à terre. Avisant un ouvrier qui, à quelques pas, s'activait auprès d'un châssis à peine carrossé, il s'approcha et, familier, dit : — Dédé, pendant que je monte chez M. Martigny, veux-tu jeter un coup d'oeil sur mon frein à pied, il y a un peu de jeu… L'interpellé releva à peine la tête. D'un coup de langue, il fit passer de la droite à la gauche de sa bouche un reste de cigarette collé à sa lèvre, répondit, maussade : — Mille regrets m'sieur le baron, peux pas quitter mon travail, adressez-vous à l'atelier de réparations…
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