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  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Carlo Andersen
  • Auteurs: Maria Blazejovsky

N° 3.514 - Yann, détective (Knud Meister, Carlo Andersen)

4,94 €
Pour fêter le 75e anniversaire de la fondation de son usine, Monsieur Schmidt, le directeur, décide de faire préparer des gratifications exceptionnelles qui seront remises le lendemain à chacun des membres du personnel. Or, vers 10 h du soir, le caissier et son assistant sont attaqués par trois hommes armés alors qu'ils sont en train de faire la répartition et les enveloppes disparaissent… Tous les indices semblent désigner le caissier Henry Holm comme coupable. Il est donc emprisonné, bien qu'il ne cesse de proclamer bien haut son innocence. C'est alors qu'intervient Yann, le fils du commissaire Helmer. Intrigué par un étrange coup de téléphone et par l'attitude suspecte d'un employé qui brûle des documents, il entreprend sa propre enquête… Ce premier roman d'une passionnante série policière rendra célèbre le sympathique Yann.

Dans mes petits souliers (Susanne Vettiger, Maria Blazejovsky)

5,90 €
Clic clac, clic clac… Du matin au soir, nos souliers nous portent de par le monde. Mais… que se passe-t-il dès que nos pieds les ont quittés ? A ce qu'on raconte, de petits êtres fantastiques pointent alors le bout du nez et commencent à vivre d'étranges aventures. Vous ne le croyez pas ? Alors écoutez bien cette histoire. Elle nous raconte la vie de Mam'zelle Babette et de Monsieur Leureux, deux souliers pas comme les autres puisqu'ils habitent à l'Opéra. Sur scène, ils font la paire ! Mais un beau jour, consternation ! Monsieur Leureux a disparu. Et l'une après l'autre, les chaussures voisines se volatilisent à leur tour, tantôt la gauche, tantôt la droite. Que se passe-t-il donc ? C'est un bien grand mystère, mais Mam'zelle Babette est prête à tout pour retrouver son compère…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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