Accueil

Accueil

Il y a 4 produits.

Affichage 1-4 de 4 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Carol Fenner
  • Auteurs: Jacques Sanluys
  • Auteurs: Jo Hoestlandt

Le génie de Yolonda (Carol Fenner)

2,59 €
Yolonda est bien trop grande pour les onze ans, bien trop grosse et noire de surcroît. Mais malheur à qui se moque d'elle : elle met si bien les rieurs de son côté qu'une fille de sa classe la traite de génie. Un génie ? Qu'en dit le dictionnaire ? Yolonda tombe de haut. Il paraît que « le génie authentique réorganise des éléments existants en une forme que personne n'a encore vue ou entendue ». Elle en est bien incapable, mais, ô stupeur, c'est ce que fait son petit frère Andrew quand il joue de son inséparable harmonica. Et on le traite de débile parce qu'il ne sait pas lire à six ans ! C'est trop injuste ! Il a seulement besoin d'un maître pour génie ! Alors Yolonda se jure de consacrer toute son astuce, toute son obstination, toute son énergie à faire reconnaître le génie d'Andrew. Mais comment ?

Tu peux toujours courir ! (Jo Hoestlandt) - Nathan Poche N° 29

2,56 €
Johnny, son truc, c'est de courir, pour le reste… il est lent, rêveur, il bégaie. Et puis un jour, sur le trajet de l'école, il tombe sur une météorite, Daphné, une fille rapide comme l'éclair. Tellement rapide qu'elle n'a plus besoin d'aller en classe. Mais qui sait ce qu'ils peuvent apprendre l'un de l'autre ? Pour les 10-12 ans.

Le journal de Miss Pétoche (Jo Hoestlandt) - J'aime Lire N° 243

4,48 €
Cher journal, Il faut que je te parle d'un truc qui me gâche la vie : souvent, j'ai la frousse, les chocottes, j'ai les jetons et la pétoche... C'est à cause de toutes ces catastrophes qui nous menacent : la famine, la guerre, la pollution, la canicule, les avalanches, les feux de forêt, les virus… Quand j'en ai parlé à Florian, le garçon qui passe ses vacances à côté de chez nous, il a rigolé. Évidemment, lui, il n'a jamais peur de rien… Dès 9 ans.

N° 1917 - Le dernier mot du coeur (Jacques Sanluys)

3,95 €
Extrait : A regret je franchis le portillon. C'était stupide d'avoir choisi le métro comme moyen de transport ! Il y avait une vingtaine d'arrêts, deux changements, pour aller jusqu'à « La Fourche ». Un bien long voyage ! Je m'étais privée sans raison du beau soleil d'octobre... Le bruit de la rame qui arrivait coupa court à mes réflexions. Trop tard pour changer d'avis !... Je me dirigeai vers le milieu du quai, là où allait venir se placer le wagon des « premières ». Des cris d'effroi, soudain me glacèrent… Le train stoppa net, durement. Des gens s'élancèrent vers la voiture de tête. Le conducteur sortit d'un bond de sa cabine. Il sauta sur la voie, suivi par le chef de train… Déjà, des voyageurs formaient un cercle. Je ne voulu pas me mêler à la foule. C'était un suicide, sans aucun doute. L'affreux spectacle ne m'attirait pas ! Le chef de station, qui s'était précipité pour aider ses camarades de travail à secourir la victime revenait au pas de charge vers la cabine vitrée qui lui sert de bureau…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire