Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Carol Fenner
  • Auteurs: Maurice Bernard
  • Auteurs: Philippe Ebly
Les conquérants de l'impossible : Le robot qui vivait sa vie - Philippe Ebly - Bibliothèque verte
  • Nouveau

N° 108 - Les conquérants de l'impossible : Le robot qui vivait sa vie (Philippe Ebly)

2,95 €
Haum est, en apparence, un Vietnamien d'une quinzaine d'années. Il est souple, robuste et rapide. Il court plus vite que n'importe qui et saute plus haut qu'un champion olympique. Il parle et sourit comme tout le monde. Son aspect est exactement celui d'un être humain, mais ce n'est qu'un robot ! Serge, Xolotl et Thibaut ont une mission précise : ils doivent accompagner Haum, sans jamais le perdre de vue, et veiller à ce que le secret de son existence soit bien gardé. Mais, un matin, le robot leur fausse compagnie : il veut vivre sa vie…

Le génie de Yolonda (Carol Fenner)

2,59 €
Yolonda est bien trop grande pour les onze ans, bien trop grosse et noire de surcroît. Mais malheur à qui se moque d'elle : elle met si bien les rieurs de son côté qu'une fille de sa classe la traite de génie. Un génie ? Qu'en dit le dictionnaire ? Yolonda tombe de haut. Il paraît que « le génie authentique réorganise des éléments existants en une forme que personne n'a encore vue ou entendue ». Elle en est bien incapable, mais, ô stupeur, c'est ce que fait son petit frère Andrew quand il joue de son inséparable harmonica. Et on le traite de débile parce qu'il ne sait pas lire à six ans ! C'est trop injuste ! Il a seulement besoin d'un maître pour génie ! Alors Yolonda se jure de consacrer toute son astuce, toute son obstination, toute son énergie à faire reconnaître le génie d'Andrew. Mais comment ?

N° 230 - Le passé est mort (Maurice Bernard) - Yvonne DE CARLO en couverture

3,50 €
Le passé est mort Roman d'amour inédit par Maurice Bernard Extrait : — Une transfusion est nécessaire immédiatement, dit le professeur Malret, après qu'il eût examiné le blessé qui venait d'être transporté dans sa clinique. Celui-ci avait été trouvé chez lui, baignant dans une mare de sang, le poignet gauche portant la marque d'une entaille profonde par où s'était échappé la vie. Un coup de téléphone avait prévenu le service intéressé de la clinique de l'urgence du transport. Dans le portefeuille du jeune homme on avait trouvé ses papiers d'identité. Il s'appelait Jean Berty, 25 ans, demeurant rue Mercelis, pas très loin de la clinique. Sa carte portait comme profession : peintre. C'est tout ce qu'on savait de lui. Il était là, livide, sur la civière roulante. Aucun signe de vie ne se manifestait en lui. On l'aurait cru mort si les faibles pulsations qui se révélaient encore au pouls n'avaient prouvé le contraire…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire