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Il y a 6 produits.

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  • Auteurs: Camille Arnold
  • Auteurs: Caroline Pasquier

N° 93 - Pour tout l'or de Bagdad (Caroline Pasquier)

4,95 €
Une femme. Un homme. Un endroit de rêve. Une belle histoire d'amour. La collection Turquoise vous fera aimer, pleurer, partir et vivre des aventures et des passions hors du commun. Au coeur de la cité des Mille et Une Nuits, Eléonore Darcy rencontre le trop séduisant Julien de Valday. Mais pour quelle raison est-il ici ? Une demeure féerique, une collection, un drame… Le destin est sans pitié pour ceux qui osent le défier. Qui est celle dont tous parlent à mots couverts ? Et quel est le visage de l'ennemi ? Eléonore en sait-elle déjà trop pour affronter l'homme qu'elle aime ?

N° 1676 - La clause secrète (Camille Arnold)

2,92 €
Extrait : Jacqueline repoussa lentement le tiroir du classeur dont le carton vert était déchiré, après y avoir rangé la traite des établissements Phalippou et Fils… Elle était lasse. Non pas lasse de trop travailler — son emploi de dactylo-facturière chez Fradet , « couverture, plomberie, sanitaire », n'était pas harassant ! — mais, au contraire, de faire un travail monotone et ennuyeux auquel elle ne parvenait pas à s'intéresser. Tandis qu'elle cherchait dans une boîte déglinguée un morceau de sparadrap pour arranger tant bien que mal le tiroir défaillant, elle regardait du coin de l'oeil, avec une sorte d'envie, le comptable, M. Plumet…

Jusqu'au bout de l'amour (Caroline Pasquier)

2,12 €
Le bout du monde : telle est la destination d'Erica, décidée à faire un reportage sur un sujet d'actualité brûlante. Mais la sauvage beauté de la jungle dissimule des dangers inattendus. Elle recèle surtout le mystère de Christopher, cet homme énigmatique et séduisant qui a fasciné la jeune fille dès leur première rencontre…

N° 1704 - Au bord de l'abîme (Camille Arnold)

3,74 €
Extrait : Gustave Herbelot reposa le vase de Sèvres dont, machinalement, il avait regardé la marque. On aurait dit qu'il faisait, sans y songer, l'inventaire de ce qu'avait laissé, en mourant, Suzanne Teyssière. De tous les bibelots qui ornaient ce salon, le plus ravissant était sans conteste Odile devant qui Gustave vint se planter, les mains aux poches : — Alors, petite ? Nous sommes d'accord ? La jeune fille leva vers lui un regard craintif : — Il le faut bien, tonton. Elle n'était pas sa nièce, mais celle de sa femme, Fernande, qui était morte deux ans plus tôt. Décidément, on ne vivait pas vieux, chez les Guitton : les deux soeurs, Fernande et Suzanne, avaient été orphelines de bonne heure. Puis Fernande était morte à trente-huit ans et voici que Suzanne venait à son tour d'être emportée en quelques jours par une angine de poitrine. Il restait à Gustave, en tout de sa belle famille, cette nièce de dix-sept ans dont il avait été désigné le tuteur…

Le Tourbillon des Passions (Caroline Pasquier)

2,00 €
En plein centre de Paris, un jardin secret aux couleurs d'un rêve… En y pénétrant, la petite vendeuse Sophie ignore qu'elle rencontrera le séduisant Fabrice Albert-Lassalle. Ce riche héritier est un don Juan, et aucune femme ne résiste au charme insaisissable de cet homme secret…

N° 1567 - L'inutile sacrifice (Camille Arnold)

3,05 €
Extrait : Chaque fois que Madeleine entend l'ascenseur se mettre en marche les aiguilles de son tricot s'immobilisent et elle suspend presque son souffle pour tendre l'oreille. Est-ce lui, cette fois ? Non, l'arrêt se fait à un autre étage... et elle en est, à la fois, déçue et contente : déçue, parce qu'elle languit que Claude soit rentrée... et contente, parce qu'elle pourra faire encore quelques « rangs » de plus à son pull-over. Comment sera-t-il ce soir ? Ne sera-t-il pas trop fatigué par le métro et ses bousculades aux heures de « pointe », ses innombrables escaliers de correspondance ? Ne sera-t-il pas trop énervé par les leçons données à des aspirantes-pianistes qui n'ont pas la moindre disposition pour la musique mais qui, avant de savoir faire une gamme, sont impatientes de pouvoir jouer Tristesse de Chopin à leur première réception ? Ne sera-t-il pas trop démoralisé par une entrevue avec quelque directeur de théâtre ou quelque éditeur qui, après lui avoir prodigué de grandes louanges pour ses oeuvres, se sera répandu en soupirs pour se plaindre de la crise, des frais chaque jour plus lourds qui l'obligent à « ne miser que sur des noms connus du public »…
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